Découvrez les points essentiels pour acheter sereinement votre futur appartement !

Il existe de nombreux facteurs à étudier, de nombreux points de vigilance que nous avons listés pour vous, de manière synthétique !

1) Définir vos réels besoins

En matière de superficie, agencement, situation géographique. Célibataire, en couple avec ou sans enfants, les attentes sont différentes d’un individu à l’autre ! Le développement du télétravail commence à modifier les besoins de chacun !

De nombreux acquéreurs ont tendance à privilégier leur confort plutôt que la proximité de leur travail par exemple.

2) Etudier votre marché immobilier local

Impératif avant tout d’achat d’avoir une idée relativement précise des prix pratiqués ! Sites internet, agences immobilières, notaires sont à disposition pour vous dresser le bilan du marché actuel.

Une astuce : rendez-vous sur impot.gouv et sélectionner « recherche des transactions immobilières », vous aurez ainsi accès à l’ensemble des transactions réalisées par commune. Des données on ne peut plus en accord avec la réalité du marché !

3) Votre budget correspond-il à vos attentes ?

Déterminer votre budget avec votre banque ou un courtier ! Les calculs d’endettement sont plutôt simples à réaliser. Ils vous permettront de définir votre budget précisément !

Prévoir au moins les frais de notaire en apport personnel, avoir une épargne complémentaire sera un vrai plus.

4) Et donc préparer en amont votre dossier bancaire !

Aujourd’hui, particuliers ou professionnels demandent certaines garanties avant de signer une vente ! Après avoir validé vos capacités financières, c’est essentiel de préparer son dossier bancaire. Bannir les découverts ! Vos comptes doivent rassurer les banques. Réunir vos avis d’impositions, bulletins de salaire, etc.

Idéalement, obtenir en amont un accord de principe, ce document fera une énorme différence lorsqu’il vous faudra présenter votre offre d’achat sur l’appartement que vous espérez acquérir.

5) Analyser les frais annexes !

Taxe foncière, charges de copropriétés, factures énergétiques, travaux éventuels etc. Passer toutes vos futures factures à la loupe. Au-delà de la mensualité de votre prêt bancaire, pas mal de frais annexes seront à payer.

Calculer l’enveloppe globale mensuelle et annuelle vous permet d’éviter les dépenses non prévues !

6) Anticiper et choisir un notaire !

Votre notaire vous accompagnera sur plusieurs sujets clés ! L’acquisition de biens immobiliers, mais pas que ! Il analysera votre situation personnelle et construira avec vous un projet réfléchi sur le long terme.

Vous souhaitez par exemple acheter à deux mais vous n’êtes ni mariés ni pacsés ? Votre notaire saura vous guider et vous expliquer les différentes options.

7) Quelles aides pouvez-vous espérer ?

Prêt à taux zéro, prêt d’accession sociale, le prêt 1% entreprise, etc. Il existe plusieurs aides à l’heure actuelle ! Ce serait dommage de ne pas en profiter surtout pour un 1er achat !

Courtiers et banquiers ont l’habitude de ces démarches et pourront vous assister.

8) Faire chiffrer par un professionnel vos futurs travaux !

De petits travaux d’aménagement et / ou de rénovation sont assez simples à chiffrer.

Toutefois quand un appartement nécessite plus qu’un coup de peinture ou une nouvelle cuisine, il faut faire chiffrer précisément et ainsi éviter de mauvaises surprises par la suite.

9) Faire les trajets de votre quotidien depuis votre futur appartement

On peut facilement avoir un coup de cœur lors d’une visite ! Toutefois il faut savoir rester rationnel.

Etes vous certains que faire un trajet de 30 min chaque matin ne va pas vous mener la vie dure dans 6 mois ?

10) Bien étudier les documents liés à la copropriété !

Lire attentivement le dernier appel de fonds, bien comprendre quelles sont les charges courantes de votre futur logement. Certaines copropriétés ont des charges coûteuses !

Analyser les 3 derniers procès-verbaux d’assemblées générales, cela vous donnera une idée précise d’éventuels travaux à venir et des dépenses correspondantes.

11) Y a-t-il des nuisances particulières à proximité ?

Cela parait évident, mais faites le « tour du quartier ». Une route, une voie ferrée, des commerces « bruyants » peuvent avoir un impact que vous n’aurez pas notés dans un 1er temps.

Il faut savoir rester également objectif. Un appartement en centre-ville offrira moins de calme qu’un secteur plus résidentiel.

12) Etudier les diagnostics de l’appartement

Véritable dossier d’inspection d’un logement, les diagnostics ont pour objectif de vous informer de l’état de certains aspects d’un logement. Le plus en « vogue » actuellement : le DPE. Celui-ci vous informera de la note du logement en matière de consommation énergétique et des rejets de gaz à effet de serre. Parmi les diagnostics obligatoires, vous retrouverez la superficie, l’état de l’installation électrique, etc.

Plus d’infos sur les diagnostics immobiliers ? Retrouver ici notre article traitant du sujet : focus – les diagnostics immobiliers. 

13) Votre situation professionnelles est-elle stable ?

Acheter un bien immobilier ne se fait pas à la légère ! La plupart des achats immobiliers se font à l’aide d’un prêt bancaire qui vous engage sur des années. De plus, si vous achetez votre appartement au prix du marché, vous devez rajouter les frais d’enregistrement (frais de notaire).

Si vous deviez donc revendre et que vous ne souhaitez pas perdre d’argent, il faut conserver votre bien plusieurs années, en moyenne : 5 à 7 années selon les villes le temps que le marché augmente et englobe le coût total de votre acquisition.

Vous l’aurez compris : une situation stable est rassurante au moins à moyen terme ! Vous pourrez toujours mettre votre appartement en location si votre situation venait à évoluer !

14) L’emplacement : critère n° 1 !

On pourra retourner le problème dans tous les sens ! L’emplacement géographique de votre appartement est le critère le plus important, du moins en terme de valeur financière.

Un appartement très moyen mais très bien situé vaudra toujours plus cher qu’un appartement même rénové à neuf mais situé dans un secteur peu demandé. L’adresse de votre futur appartement déterminera en grande partie son prix.

Vous pouvez acheter partout, bien sûr. Simplement le prix doit être en rapport. La moyenne des prix au m² d’une ville peut facilement induire en erreur la vision que vous aurez de la valeur d’un appartement. Ayez toujours à l’esprit le facteur « revente ».

15) Prendre le temps !

Prenez le temps de vous poser les bonnes questions, de définir vos besoins. De rechercher un appartement qui vous correspondra et qui répondra à vos exigences quotidiennes. Préparez correctement et sérieusement votre dossier bancaire.

Le marché est tendu à l’heure actuelle. Si 2 offres arrivent sur le même appartement, ne nous mentons pas, le meilleur dossier passera. Aucun vendeur ne veut perdre son temps.

Prenez le temps de préparer, de réfléchir…Mais quand il sera temps de passer à l’action, ne tardez pas ! Aujourd’hui en moyenne c’est 1 offre pour 10 demandes !

« Un temps pour réfléchir, un temps pour agir ! »

Toute l’équipe vous souhaite de bonnes recherches et de trouver l’appartement de vos rêves !

Nous sommes à disposition pour répondre à vos questions et accompagner tous vos projets immobiliers !

Etape clé lors d’une acquisition immobilière ! La rédaction et la transmission de son offre d’achat font partie des moments les plus excitants, mais aussi des plus stressants du processus d’un achat immobilier.

Après avoir recherché pendant plusieurs semaines voire plusieurs mois le bien immobilier de vos rêves, après avoir prospecté et visité de nombreux produits…Vous avez enfin trouvé la perle rare. LE bien qui coche toutes vos cases.

Pour l’acquéreur potentiel, l’offre d’achat consiste à réserver un bien à des conditions qu’il fixera lui-même. C’est une « proposition ».

Voyons comment réussir l’étape cruciale de l’offre d’achat en mettant toutes les chances de votre côté.

1) Les informations obligatoires

Une offre d’achat se doit de contenir un certain nombre d’informations pour être valable.

  • Votre nom et prénom si vous achetez seul(e)
  • Vos noms et prénoms si vous achetez en couple ou en indivision
  • L’adresse et la désignation précise du et/ou des lots concernés
  • Une date de validité, généralement 1 à 2 semaines.
  • Un prix d’achat

2) L’éventuelle négociation

Une offre au prix vous garantira normalement de passer à l’étape suivante. Toutefois si le propriétaire vient à recevoir plusieurs offres au même moment, il étudiera les propositions.

Nous sommes tous tentés de vouloir négocier le prix d’achat. Il s’agit d’un montant important qui engage la plupart du temps un prêt bancaire pour de nombreuses années.

La négociation doit être intelligente. S’il s’agit d’un bien immobilier dont le prix colle parfaitement au marché, il sera difficile de le discuter. La demande actuelle étant plus forte que l’offre, les vendeurs sont généralement en position de force.

Certains biens méritent toutefois d’être négociés. Certains biens sont en vente depuis un moment ou peuvent présenter des travaux importants, en bref ils ne sont pas toujours au juste prix.

Nous constatons en général, qu’une offre en dessous du prix demandé a des chances d’aboutir si celle-ci reste raisonnable et argumentée, en général 5 voir 10 % du prix initial.

3) Le financement

C’est la condition suspensive la plus fréquente que l’on trouve dans un compromis de vente.

La question du financement est souvent l’élément central pour un vendeur. Lui apporter les garanties nécessaires est aujourd’hui devenu un incontournable.

Un financement comptant reste un argument important lors de la phase de négociation. Certains vendeurs seront pleinement rassurés par cet argument et feront un effort sur le prix.

A l’inverse, avoir un accord de principe bancaire est essentiel pour que votre offre ait une chance d’aboutir si vous comptez financer votre acquisition à l’aide d’un prêt bancaire.

Vous l’aurez compris, comptant ou via un prêt immobilier, la question du financement de votre futur bien immobilier doit être limpide.

4) Les autres conditions

Il existe d’autres conditions dites « suspensives » qui peuvent conditionner votre achat.

Voici quelques exemples de conditions particulières :

  • Obtention d’un permis de construire
  • Autorisation d’installer une climatisation en copropriété
  • Obtention des autorisations pour créer votre future piscine

Ces demandes « conditionnent » votre achat. Si celles-ci ne sont pas levées, vous aurez le choix de poursuivre ou non votre projet d’acquisition.

Généralement celles-ci sont étudiées avant d’être demandées. Une demande qui n’a aucune chance d’aboutir sera exclue des négociations.

Il est donc très important de les mentionner tout de suite à votre vendeur. La plupart du temps si votre demande est légitime, la demande passera.

5) L’affect

C’est un sujet souvent négligé par les acquéreurs !

Nous avons posé la questions à de nombreux vendeurs, le résultat est flagrant !

2 vendeurs sur 3 sont sensibles à qui achètera leur bien.

Bien souvent, on s’attache à sa maison, à son appartement. C’est bien sûr un peu « fou » mais l’affect jouera pour vous si vous savez amener les choses avec humanité.

Etoffer votre proposition avec un discours qui touchera votre vendeur. Lui dire à quel point votre famille sera heureuse de vivre dans une maison qui a été si bien entretenue par exemple ! Vous ne la toucherez pas moitié prix bien sur mais cela pourra jouer, surtout si vous êtes plusieurs candidats acquéreurs sur le même bien !

Une fois acceptée par le propriétaire, la suite des événements s’enchainera par la signature d’une promesse de vente ou d’un compromis !

Nos équipes sont à disposition pour répondre à toutes vos questions !

Le marché immobilier sur Aix les Bains et ses environs a littéralement explosé ces 18 derniers mois. Effet covid ? Ou simplement la région qui a tellement à offrir qu’elle suscite un regain d’intérêt ces derniers temps ? Un peu des deux sans doute !

Le marché local subit une nette augmentation des prix, et cela pour tous types de produits : maisons, appartements, terrains, petites ou grandes surfaces !

Avec 9 communes limitrophes, Aix-les-Bains est un marché difficile à saisir ! On passe de 2 500 €/m² à plus de 8 000 €/m² ! Un delta très important qui s’explique principalement par la localisation et les prestations des produits en vente.

Solliciter une agence immobilière en Savoie vous apportera une vision précise de la valeur de votre bien en apportant toutes les précisions nécessaires pour mener à bien votre projet de vente en toute sérénité.

1) Un marché déjà tendu qui explose

C’est une information qui n’a pas pu vous échapper ! Le marché connait une croissance importante. L’augmentation sur les 18 derniers mois varie entre 15 et 25 % selon le type de produit. Un bonne nouvelle pour les vendeurs, peut-être moins pour les acquéreurs actuels. Toutefois, investir sur un marché dynamique qui, à priori n’a pas encore fini de monter, s’apparente à un choix judicieux. Pour les investisseurs, au vu de l’offre limitée en location disponible actuellement sur le secteur, là aussi l’investissement reste intéressant.

Pour vous donner une idée de marché « tendu » : environ seulement 0.02 % du parc immobilier sur le secteur est en vente. Le % baisse encore pour les maisons. (Aix et communes limitrophes).

L’accompagnement d’un professionnel est à notre sens indispensable afin d’obtenir une valeur fiable concernant la valeur de votre bien immobilier.

2) Les prix varient significativement d’un quartier à l’autre

Aix-les-Bains représente un marché immobilier très différent d’un quartier à un autre. Les prix peuvent évoluer d’une manière spectaculaire selon l’emplacement du bien. Pourquoi ?

Les critères principaux expliquant les différences de prix sur le marché local :

  • La vue lac et/ou sa proximité : avoir une vue lac se paiera cher ! Si en plus vous ajoutez la proximité, les prix s’envolent.
  • La vue « montagne » : dans une moindre mesure et parce que l’environnement local peut donner des vues incroyables sur les différentes montagnes du secteur, les prix vont varier selon ce critère.
  • La proximité des commodités : le juste milieu sera de trouver un environnement calme tout en ayant des services à proximités : alimentaire – transport – parc, etc.
  • L’état du bien immobilier : critère valable partout en France, notre marché local n’y échappe pas. La qualité se paye toujours au prix fort.
  • Le quartier : Aix-les-Bains compte 11 quartiers administratifs ! C’est assez élevé pour une commune d’environ 30 000 habitants. Certains secteurs comme le Grand Port / Petit Port, l’hyper centre, les 1ères hauteurs de la ville sont les plus demandés et les plus coûteux. D’autres, comme les secteurs de Franklin Roosevelt, Marlioz, Avenue Saint-Simon, Liberté sont eux moins cotés. Les communes voisines qui affichent également des prix élevés sont Tresserve, Brison Saint Innocent, le Viviers du Lac.

Connaitre son marché local et les particularités de chaque quartier apparait essentiel pour estimer correctement chaque bien.

3) La disponibilité face aux fortes demandes

Compte tenu d’une forte pression sur le marché immobilier local, les demandes à traiter sont nombreuses ! Il faut être disponible et réactif afin d’identifier l’acquéreur idéal pour chaque bien. Tout cela prend énormément de temps ! En moyenne chaque annonce génère une vingtaine d’emails et autant d’appels les trois 1ers jours de parution. Cela peut monter selon le type de bien, notamment sur les budgets moyens (entre 250 et 350 000 €).

Traiter, filtrer, découvrir les projets de chacun, gérer les visites demande une organisation précise !

C’est une des raisons pour lesquelles plus de 85 % des transactions immobilières sont gérées par les professionnels du secteur.

La réactivité doit être au rendez-vous ! Pas toujours évident pour les particuliers de devoir gérer cela en amont de leur travail, famille et loisirs.

4) La gestion des démarches administratives

Plus les années passent, plus les dossiers administratifs en matière de transactions immobilières s’épaississent. La tendance est à la transparence. Les français sont de plus en plus attentifs aux diagnostics, notamment le DPE (diagnostic de performance énergétique).

Constituer un dossier complet demande à la fois une parfaite maitrise du sujet ainsi qu’une bonne organisation ! Procès-verbal d’assemblée général, relevé de charges, taxe foncière, titre de propriété, etc, représentent une parties des documents à rassembler.

Les dossiers « standards » sont déjà épais ! Ils peuvent l’être encore plus quand on aura besoin de documents, d’autorisations spécifiques. Comme un permis de construire, une demande spéciale à faire valider en assemblée générale, etc.

Pourquoi est-ce si important ?

  1. Certains documents sont obligatoires dès la mise en vente, notamment les diagnostics immobiliers. D’autre sont essentiels pour les futurs acquéreurs, comme le montant et détails des charges de copropriété par exemple.
  2. Sans un dossier complet, la date de signature d’un compromis ou d’une promesse de vente ne sera pas possible !
  3. Rassurer à la fois les vendeurs et les acquéreurs ! Fournir un dossier complet sera signe d’un dossier sain qui ne posera pas de problème futur éventuel.

5) Un marché à taille humaine

Le off market est réel sur Aix-les-Bains. C’est-à-dire : des transactions immobilières qui se négocient sans être passées par la case communication. Elles sont gérées en « Off ».

L’avantage de passer par une agence locale est de bénéficier des dernières opportunités avant que ces biens immobiliers se retrouvent en ligne un peu partout ! Vous aurez ainsi un temps d’avance sur les autres acquéreurs potentiels.

Nous connaissons parfaitement Aix-les-Bains, ses quartiers, ses commerces, ses structures, ses atouts !

L’avantage de faire appel à un professionnel local, est qu’il vous fera bénéficier de ses contacts !

Vous avez trouvé la maison idéale ? Mais la charpente est à refaire ? Pas de panique, nous vous mettrons en relation avec des entreprises sérieuses et reconnues.

Côté vendeur, c’est s’assurer d’avoir le bon intermédiaire qui saura contacter les bons acquéreurs, ceux réellement susceptibles de donner une suite favorable à l’achat de votre bien.

Nos équipes sont disponibles sur de nombreux secteurs pour vous accompagner en toute transparence !

Aix-les-Bains, Aix RIVIERA DES ALPES.

2ème ville de Savoie, Aix-les-Bains se porte à merveille.

De plus en plus attractive, de plus en plus dans la lumière, notre commune a de quoi faire des envieux !

L’un des plus beaux lacs de France, des plages, des sources chaudes réputées, un magnifique casino remplie d’histoire, un golf de 1er ordre, des restaurants, des bars, des commerces, des rues piétonnes, un cadre de vie exceptionnel, une économie grandissante, une radio locale incontournable, bref…de quoi être heureux et fier d’habiter Aix-les-Bains !

Mais connaissez vous bien Aix les bains ?

C’est l’objectif de cet article ! En apprendre le maximum sur notre ville !

C’est parti pour le Quizz !

  • Quelle est la superficie de la commune ?
  • Son nombre d’habitant ?
  • De quelle période date notre hôtel de ville ?
  • Le nombre de quartier administratif ?
  • Combien de communes limitrophes ?
  • Dont 3 avec une particularité singulière, quelle est cette particularité ?

Coté symbole Aixois :

  • Quelle est la date de création du golf d’Aix-les-Bains ?
  • Sa superficie ?
  • Quelle est l’année d’ouverture de l’hippodrome ?
  • La superficie des anciens thermes nationaux ?
  • Sa date d’inauguration ?
  • Combien de curistes annuels profitent de nos sources chaudes ?
  • Quelle était à l’origine le casino grand cercle d’Aix-les-Bains ?
  • En quelle année fut il inauguré ?

Niveau circulation et altimétrie :

  • Combien de véhiculent circulent quotidiennement sur la commune ?
  • En quelle année Aix-les-Bains devient accessible en train ?
  • Le nombre de km de voie cyclable ?
  • Le nombre de km de chaussée ?
  • Le nombre de km de trottoirs à Aix ?
  • Un particularité aixoise , le nombre de rond-point ?
  • L’altitude la plus basse ?
  • La plus haute ?
  • La température minimal relevée ?

Coté faune locale :

  • Le nombre d’espèce de poissons recensés dans le lac ?
  • Le nombre d’espèce d’oiseaux recensés autour du lac ?

Coté immobilier :

  • Le nombre de logement ?
  • Le nombre de logements sociaux ?
  • Le nombre de propriétaires sur Aix ?
  • Le nombre de logement inoccupés ?
  • Le nombre de résidences secondaires recensées ?
  • Le type de logement ou la demande est la plus tendue / forte ?

Coté entreprise :

  • Le nombre d’entreprise en 2020 ?
  • La création d’entreprise se porte également bien, 2019 signe le record d’ouverture, avec ?
  • Quel est le type de commerces le plus présent ?
  • Nombre d’entreprise toutes confondues BTP ?
  • Dernière question ! Ou se situe l’agence du Groupe RD IMMO ??

Nous espérons que vous aurez à la fois pris du plaisir à répondre à toutes questions et que vous aurez appris un maximum de choses sur notre belle ville !

Les réponses :

  • 12,62 km ²
  • Un peu plus de 30 000 habitants
  • Certains indices permettent de dater le 1er château construit au moyen âge au XIIIème siècle !
  • 11 quartiers administratifs : Centre-ville Nord et Sud / Memard-Corsuet / Rondeau Bord du Lac / Italie Jacotot / Lepic / Lafin / Saint Simond / Tir aux pigeons / Chantemerle Saint Pol et Marlioz.
  • 9
  • 3 ont une limite immergées au sein du lac du Bourget : Bourdeau, La Chapelle du Mont du Chat et Tresserve
  • 1895
  • 45 hectares
  • 1883, et c’est le seul hippodromes des Alpes
  • 50 000 m²
  • 1783
  • 30 000 environ
  • Le palais de Savoie
  • 1850
  • 27 000
  • 1856 !
  • 40 km
  • 130
  • 180 !
  • 54 ! pour seulement 9 feu !
  • 230
  • 524 : Foret du Corsuet
  • -18,3°
  • 33 !
  • 121 !
  • 21 000 environ
  • 2 700 environ
  • 5 000
  • Un peu plus de 2 000
  • 25 % environ
  • T2 – T3
  • 2 800 environ, avec une progression impressionnante, en 2010 on en comptait environ 2000
  • 466 nouvelles entreprises ! 2020 cause COVID, les chiffres ont baissés, mais semble repartir à la normale, c’est plutôt encourageant ! 2021 devrait clôturer avec une augmentation d’environ 10 %
  • Les restaurants ! 168 ! suivi par les salons de coiffure, 69 !
  • Plus de 500 !
  • Au Grand port d’Aix-les-Bains bien sûr ! Nous sommes également présent sur Chambéry – Grenoble – Vallée du Grésivaudan et Paris !

N’hésitez pas à nous contacter pour bénéficier d’un accompagnement de qualité pour tout vos projets immobiliers !

Plusieurs raisons peuvent vous pousser à vouloir estimer votre bien immobilier !

Un projet de vente, une donation, une déclaration fiscale ? Vous avez besoin de connaitre la valeur de votre appartement ou maison.

C’est une étape essentielle, primordiale pour tout projet immobilier ! 80 % des biens estimés au juste prix trouvent preneur dans un délai correct (moins de 3 mois).

Nous avons tous tendance à vouloir le meilleur prix, c’est normal. Toutefois les surestimations provoquent des surprises dont on se passerait bien, de même que de vouloir sous-estimer pour raison fiscale, les conséquences peuvent être lourdes !

Commencez par analyser votre marché local en profondeur. Consultez les annonces immobilières et les données notariées. Tout se trouve facilement sur le web.

Suivez cette méthodologie efficace pour arriver au juste prix !

  • L’emplacement géographique

Sans nul doute, c’est le critère numéro 1 !

La situation géographique de votre bien va jouer de manière très significative sur sa valeur. La qualité de son emplacement donnera tout de suite une forte tendance quant à sa valeur. D’un quartier à un autre, d’une rue à une autre, les prix au m² peuvent radicalement évoluer.

L’environnement immédiat va de pair. Soyez OBJECTIF ! Ce n’est pas parce que vous êtes habitués aux nuisances qu’elles n’existent pas ! On valorisera le calme, une vue dégagée, une absence de vis-à-vis, la proximité des commerces, des écoles, des transports, etc. On pondérera au contraire ces points s’ils sont plutôt « négatifs ».

  • Définir la bonne superficie

La question de la superficie parait évidente ! Celle-ci va évidemment jouer sur la valeur de votre bien immobilier. Plusieurs types de superficie peuvent s’étudier, se valoriser :

  • La Surface dites « Loi Carrez » : C’est une définition de surface qui s’applique uniquement aux biens immobiliers sous régime de copropriété. Elle prend en compte les surfaces de planchers clos et couverts en déduisant les surfaces occupées par les murs, cloisons, marches, gaines, cages d’escaliers, embrasures de fenêtres. Uniquement pour des parties dont la hauteur est à plus de 1.80 m.
  • La surface « utile » ou « SU » : cette surface est égale à la surface habitable du logement augmentée de la moitié de la surface des annexes (définie par un arrêté ministériel). Les annexes incluses dans le calcul de la SU sont les suivantes : caves et sous sols, combles et greniers aménageables, remises / ateliers, balcons / terrasses / loggias / cellier externes.

L’intérêt d’étudier correctement la surface de son logement est d’en valoriser correctement chaque partie.

On parlera de surfaces et de surfaces pondérées.

  • L’habitabilité

Votre appartement, votre maison sont-ils optimisés ? Bien agencés ? Sans perte inutile de surface ? Il n’y a là pas de règle, le bon sens s’applique. Certains logements sont plus petits mais leurs distributions font ressortir un sentiment général d’espace plus important.

La distribution peut jouer significativement sur la valeur. La taille du séjour, de la cuisine, des chambres, etc. Tout compte ! Fenêtre dans les pièces d’eaux ? WC séparé ? Chaque détail sera considéré.

  • L’état général

Evidemment, un bien en excellent état n’aura pas la même valeur que son équivalent à rénover partiellement ou totalement.

On étudiera de prés la copropriété pour les appartements, l’étude sera également poussée pour les maisons : état de la façade, toiture, nature et état du mode d’assainissement, la / les portes d’entrées, les fenêtres, les volets, etc.

L’état général donnera un 1er sentiment important, il donne le ton rapidement !

S’il parait évident que des travaux de copropriété ou de rénovation extérieure pour une maison (comme la toiture par exemple) sont nécessaires et / ou proches d’être décidés, cela jouera sur l’avis de valeur de votre bien.

  • Le type de logement

La typologie d’un logement jouera sur sa valeur. Généralement plus c’est petit plus c’est cher ! On pondérera à la baisse les prix au m² au-delà d’une certaine surface. Les prix au m² de studios sont généralement plus haut en moyenne, il existe bien sur certaines exceptions !

  • L’extérieur

Que ce soit pour un appartement ou une maison, la qualité des extérieurs influencera le prix de votre bien. Une terrasse qui permet d’installer une grande tablée, quelques transats, sera bien plus recherchée qu’un simple balcon.. voire rien du tout !

Pour une maison, c’est d’autant plus significatif. Un terrain plat, clôturé, arboré avec piscine, aura plus de valeur qu’un terrain non aménagé.

La question de la vue et du vis-à-vis est essentiel ! Un vrai plus ou un vrai point négatif !

Le terrain sera à étudier bien entendu. Si celui ci est constructible, la valeur grimpera significativement ! Analyser le PLU(I) sera de fait, nécessaire.

  • Les taxes et / ou charges

Certains logements sont plus énergivores que d’autres ! Certaines taxes foncières sont plus élevées que d’autres ! Sans parler des charges de copropriétés qui peuvent passer du simple au triple selon la résidence. Cet aspect n’est pas à négliger ! Certains biens ont du mal à trouver preneur à cause de charges « excessives ».

A contrario, beaucoup de vendeurs mettent en avant le côté « faible charge de copropriété ». Souvent il s’agit de petites copropriétés. Il est vrai que les charges sont faibles car peu de consommation et / ou d’options. Toutefois quand les toitures, façades par exemple sont à reprendre.. il y a moins de copropriétaires pour régler la note !

  • Les agréments généraux

Les agréments généraux peuvent être divers et variés : présence de climatisation, de brise soleil orientable, d’une terrasse exceptionnelle, une rénovation de qualité avec des matériaux recherchés. Il y a énormément de possibilités pour rendre un bien particulièrement attrayant !

Chaque logement est différent ! Il existe bien sur de nombreux « plan courant ». C’est-à-dire de modèles de logement « classique ». Ceux là sont moins recherchés et les prix collent souvent aux moyennes.

Certains biens sont particuliers, on sent quelque chose de spécial, d’unique. Les prix ont là, tendance à décoller !

  • Sa rareté

Certains secteurs sont si demandés que les prix peuvent atteindre des sommes impressionnantes ! L’immobilier reste un marché sujet à l’offre et la demande. Pas d’offre sur une rue, un quartier très recherché ? Les biens disponibles seront probablement mis en vente à des prix qui peuvent sembler déraisonnables.

 

Nos équipes sont disponibles pour rendre un travail d’estimation soigné, complet et surtout on vous expliquera notre méthode et le résultat obtenu !

Quoi de plus excitant que de partir à la recherche de son 1er achat immobilier ? Acheter pour la 1ère fois nécessite d’être bien préparé. Pas de panique : voici nos 10 conseils pour vous aider dans votre 1ère acquisition immobilière.

Conseil n°1 : Définir vos besoins

Parmi les 1ères questions à se poser, la localisation est primordiale. Tant sur le plan personnel que financier, l’emplacement géographique demeure année après année l’un des critères les plus importants (si ce n’est le plus important). Au quotidien, votre logement sera le point de départ de vos déplacements : vous rendre au travail, vos sorties, faire vos courses, distance des écoles, de la gare ; pensez-y ! On dénombre énormément de foyers déménageant pour ces raisons. La difficulté sera principalement financière, plus l’emplacement sera qualitatif plus le prix demandé sera élevé. Toutefois, on constate que les secteurs périphériques sont en explosions, les demandes s’accumulent pour des besoins d’air, d’espace, d’extérieur, sentiment en nette hausse depuis le confinement. Le compromis sur le secteur ne doit pas toujours être perçus négativement. Votre budget vous offrait un simple T2 de 45 m² au centre de votre ville ? Vous voilà propriétaire d’un joli T3 avec terrasse pour le même prix à seulement 15 min en voiture ou en bus de vos bars préférés ! C’est à vous de trancher, à vous de décider les critères que vous souhaitez privilégier

Conseil n°2 : Analyser votre marché immobilier local

Sans être non plus un expert immobilier, il est impératif que vous ayez une vision globale de votre marché. Pour cela, rien de plus simple : https://immobilier.statistiques.notaires.fr/prix-immobilier

Vous trouverez les statistiques à jour des ventes passées partout en France. Il s’agira ici de moyenne, mais vous connaîtrez la base de votre marché immobilier. Si votre ville affiche une moyenne à 3 000 €/m², il ne sera pas illogique qu’on vous demande 3700 €/m² pour un appartement en excellent état avec balcon plein sud et un garage par exemple. Une moyenne c’est le jeu des + et des –

Vous avez sûrement de la famille, des proches qui ont acheté ou vendu un bien immobilier et qui pourront également étoffer vos recherches.

Rencontrez des professionnels ! C’est probablement la meilleure option. Agences immobilières et/ou agents indépendants sont de véritables acteurs du marché immobilier. Ils sont connectés au marché et vous donneront de précieuses informations.

Conseil n°3 : Ma situation est-elle stable ?

Entre l’achat du bien, les frais de notaires, les frais bancaires ; on constate qu’il faut généralement au moins 5 ans pour revendre son bien sans perdre d’argent. D’où l’importance d’anticiper au mieux votre futur. Ce n’est pas forcément (toujours) évident lorsque vous savez qu’une mutation dans un autre département se profile à brève échéance. Mieux vaut réfléchir avant d’acheter. Idem pour les couples qui rêvent d’un douillet petit appartement et qui se retrouveront à déménager car le 1er enfant arrive à grand pas.

Conseil n°4 : Mon budget correspond-il à mes attentes ?

En milieu urbain, pour la plupart des villes pour 100 000 € on peut espérer un studio de 20 m² à 30 m² – 150 000 € un jolie T2 – 200 -250 000 € T3/T4 (selon emplacement). Définir votre budget sera simple. Soit vous disposez d’un capital et souhaitez l’utiliser pour cet achat, soit vous emprunterez. Calculez sa capacité d’emprunt n’est pas compliqué, vous trouverez facilement sur le web de nombreuses calculatrices financières. Banques et courtiers sauront également répondre précisément à cette question.

Vous pouvez rapidement calculez grossièrement votre pouvoir d’achat :

Exemple : pour un couple dont les revenus s’élèvent à 3 500 € net. On prendra un taux d’endettement maximum de 33 % soit une mensualité possible autour de 1 150 € soit environ 210 000 € de capacité d’emprunt. Bien entendu seul votre conseiller bancaire apportera des chiffres réels après étude complète de votre dossier.

Conseil n°5 : Bien préparer son dossier bancaire

Votre dossier doit être anticipé ! L’objectif est de rassurer votre banquier. En regardant vos comptes, vos données, le banquier doit conclure que oui, votre situation est saine et votre futur emprunt ne posera pas de problème. Les découverts sont à bannir et si vous arrivez à épargner tous les mois, même de petites sommes, faites-le. Prenez-le comme un entretien d’embauche ; vous devez séduire et rassurer.

Les courtiers sont des aides précieuses ; ils maîtrisent parfaitement le milieu bancaire et joueront pour votre équipe. Ils vous conseilleront sur la meilleure stratégie à adopter.

Conseil n°6 : Avec ou sans travaux ?

Sans connaissance ou appui familiale (par exemple votre père est électricien, plombier, plaquiste etc.). Il est plutôt déconseillé d’acquérir pour 1er achat immobilier un bien avec beaucoup de travaux. S’il s’agit simplement de repeindre ou changer de cuisine, cela reste tout à fait envisageable mais une rénovation totale c’est autre chose.

Un 1er achat entraine déjà une part de stress, rajouter un véritable chantier à cela n’est pas forcément judicieux. Toutefois, c’est une décision personnelle qui vous appartient. De bonnes affaires sont à faire pour des biens avec des travaux conséquents. Rien ne empêche de vous lancer J De nombreux professionnels de l’immobilier sont habitués à ces situations et sauront vous épauler dans ces démarches.

Conseil n°7 : Multipliez les visites

Pour un 1er achat, visitez une dizaine de biens sera nécessaire pour avoir une vision claire de ce qu’on vous propose. Il est intéressant de visiter des biens qui ne semblaient pas forcément correspondre au 1er coup d’œil. Par exemple, vous cherchez impérativement un appartement avec une chambre ? Visitez également un ou 2 grands studios. Souvent les T1 d’au moins 30 m² peuvent se transformer assez facilement.

Astuces : Les points essentiels à vérifier si un bien vous intéresse particulièrement.

  • Etat général du bien : Travaux ? Mise aux normes à réaliser ?
  • Etat de la copropriété : Demandez au moins les 2 derniers PV d’AG (procès-verbaux d’assemblées générales)
  • Demandez le montant de la taxe foncière et des charges
  • L’environnement : Peut-on se garer facilement ? Distances des commerces ? De votre lieu de travail ?
  • Luminosité : Quelles expositions ? L’air circule-t-il correctement ?
  • Bilan énergétique : Est-ce un logement énergivore ? Est-il bien isolé ?

Vous ne devez pas ressentir d’hésitation quand votre coup de cœur apparaitra ; votre logement sera votre foyer pour les prochaines années.

Conseil n°8 : Quelles sont les aides financières auxquelles je peux prétendre ?

Récemment reconduit jusqu’en 2021 pour un achat immobilier neuf, le PTZ (prêt à taux zéro) permet de financer une partie importante du crédit immobilier.

Quelques aides sociales ayant pour objectif de favoriser l’accession à la propriété.

Retrouvez les aides ici : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F10796

Conseil n°9 : Les frais du propriétaire

Souvent on n’y pense pas tout de suite, mais être propriétaire a un coût annuel non négligeable.

Taxe foncière, charges de copropriété, travaux de copropriété, assurances sont les principales dépenses à anticiper. Certaines copropriétés ont des frais mensuels / trimestriels très élevés. Bien souvent car les charges incluent eau et chauffage voire un gardien. Généralement il s’agit de copro / résidences de taille importante et assez anciennes. Si votre budget ne vous permet pas de payer ces frais, privilégiez les petits bâtiments souvent gérés par un syndic bénévole.

Conseil n°10 : Le choix du notaire

Le notaire est un officier public possédant un pouvoir important délégué par l’Etat. C’est le professionnel de l’authentification des actes. Le notaire constate le consentement libre et éclairé des parties ; il a également un rôle de conseil juridique, il protège le consentement. Le site des notaires de France est riche d’informations utiles que vous pouvez consultez ici : https://www.notaires.fr

Vous pouvez acquérir un bien sans avoir personnellement de notaire. Vous pourrez prendre par défaut le notaire du vendeur ou le notaire conseillé par un professionnel de l’immobilier. Toutefois nous conseillons d’en rencontrer 1 ou 2 dans votre ville, d’échanger avec lui sur votre projet d’acquisition. Le notaire est là pour vous aider, vous accompagner, vous conseiller et cela gratuitement. Il s’agit de construire une relation de confiance concernant les actes importants d’une vie. Il saura répondre à vos problématiques au fil des années. Pourquoi s’en priver ?

Nous vous souhaitons de réussir votre projet d’achat immobilier, nous restons disponibles pour répondre à vos questions !

Il peut arriver que vous fassiez des rénovations qui ne nécessitent pas un permis de construire car leur ampleur n’est pas aussi importante. Toutefois, une déclaration préalable peut être requise ce qui rend opportun de savoir quels sont les types de travaux désignés par la réglementation urbaine. Cela est d’autant plus important qu’un non-respect de cette règle d’urbanisme peut occasionner des sanctions tels qu’une amende, la suspension des travaux ou même l’enlèvement des installations en cause.

La déclaration préalable de travaux : qu’est que c’est ?

La déclaration préalable des travaux est un document d’urbanisme qui sert d’autorisation pour certains types de travaux. Il s’agit surtout, pour l’autorité compétente, de voir si votre projet respecte les règles d’urbanisme en vigueur. Elle est moins contraignante que le permis de construire  car les travaux sont de faible ampleur. Toutefois, il faut préciser que sa nomenclature pourrait faire penser qu’il s’agit d’une simple formalité alors qu’il n’en est rien. C’est plus une autorisation qu’une simple formalité de déclaration car elle peut être délivrée ou non. C’est-à-dire qu’après instruction, les travaux peuvent être autorisés ou non. En plus, vous ne pouvez pas commencer avant de recevoir une réponse favorable. C’est au vu de tout cela, qu’il est fortement recommandé d’être assisté par un professionnel pour la constitution du dossier.

Quand est-elle obligatoire ?

Le caractère obligatoire de la déclaration de travaux dépend de la modification ou non de l‘aspect extérieur de votre maison et de l’espace que cette modification concernera.  C’est pourquoi il est important de bien calculer la superficie que les travaux de modification vont impacter afin que votre dossier soit fiable.

Il s’agit généralement des travaux d’extension, d’agrandissement, de surélévation de d’aménagement de combles qui intègre la création de surface de plancher ou d’emprise au sol inférieure à 40m2. Cela est valable si votre terrain n’est pas en zone urbaine du plan local d’urbanisme pour lequel il suffit de 20m2 pour être inéligible.

C’est le cas de l’aménagement d’abris de jardin, de garage ou toute autre annexe avec une création de surface de plancher ou d’emprise au sol inférieure à 20m2.  C’est également le cas pour la construction de murs supérieurs à deux mètres au-dessus du sol, de la rénovation de la façade, des toitures ou mêmes des menuiseries, qui aurait pour conséquence de modifier l’aspect extérieur de l’immeuble.

Enfin, la déclaration préalable de travaux est obligatoire lorsque vous installez une piscine dont la surface est inférieure à 100 m2.

Quel est le coût d’une déclaration de travaux ?

Le coût d’une déclaration de travaux comprend le prix de la prestation et les taxes.

Vous n’êtes pas obligé de faire recours à un architecte ou à tout autre professionnel, bien que cela soit fortement recommandé. Bien évidemment chaque prestataire à son propre tarif qui se calcule généralement par mètre carré.

S’agissant des taxes, il faudra d’abord déterminer la surface taxable. Celle-ci comprend l’ensemble des surfaces closes et ouvertes situé sous une hauteur de 1.8m, calculé à l’intérieur des murs. Elle comprend tous les types de bâtiments, qu’ils soient caves, combles, celliers, annexes, etc. Les trémies des escaliers et ascenseurs, et les épaisseurs des murs.

Ainsi, il y a la taxe d’aménagement qui est composée de trois parts à savoir communale, départementale et régionale. Il y a également la taxe foncière qui est un impôt local perçu par les collectivités locales.

Comment constituer le dossier de demande de déclaration préalable ?

La première chose à faire est de localiser votre parcelle à l’aide du plan local d’urbanisme PLU (ou PLUI si il est déjà appliqué dans votre commune). Cela vous permet de savoir si vous êtes sur une zone protégée, à proximité d’un site historique, etc. Ensuite, remplissez le formulaire Cerfa n°13703*06 qui vous permet de fournir toutes les informations nécessaires sur vous et votre projet. Ce formulaire sera accompagné de huit pièces obligatoires à savoir :

_un plan de situation du terrain

_un plan de masse de la construction

_un plan de coupe du terrain et de la construction

_une représentation de l’aspect extérieur

_un plan de façade et des toitures

_un document graphique en 3D

_une photo qui situe le terrain par rapport à son environnement immédiat

_une photo qui situe le terrain par rapport à son environnement lointain.

Où devez-vous déposez le dossier ?

Le dossier constitutif de votre déclaration préalable de travaux doit être déposé au service d’urbanisme de votre commune. Votre dossier se décline en minimum 4 exemplaires sous format papier, par le poste ou en main propre. Ainsi vous est-il délivré un numéro d’enregistrement et un récépissé.

Quelles sont les conséquences du dépôt ?

Le délai :

A partir de ce dépôt, une instruction est enclenchée afin de voir si le projet est compatible avec la politique d’urbanisme de la localité. Le délai de ladite instruction varie entre un et deux mois selon la localisation du projet et selon le type de rénovation prévu. Dans les 15 premiers jours, un avis présentant les caractéristiques principales de votre projet est affiché à la mairie. Le silence de l’administration, après l’expiration du délai, vaut acceptation, même s’il est mieux de demander confirmation.

L’autorité compétente :

Votre dossier sera instruit par un inspecteur des services d’urbanisme qui se prononcera sur la faisabilité de votre projet, eu égard aux règles et politiques d’urbanisme. L’étude est remise au maire de votre commune qui se prononcera en dernier lieu.

La durée de validité :

La durée de validité globale de la déclaration de travaux est de 5 ans. En effet, la durée initiale est de trois ans avec une possibilité de renouvellement d’un an pour deux fois de suite. Une fois que vous aurez votre autorisation, il vous restera de l’afficher sur le terrain pour faire valoir ce que de droit.

Le mode d’affichage :

L’affichage de la déclaration préalable de travaux est assimilable à celle du permis de construire. Le panneau règlementaire d’affichage est d’une dimension minimale de 80 par 120 cm. Il doit être visible depuis la voie publique et être placé devant l’immeuble. Ce panneau doit rester sur place pendant toute la durée des travaux.

 

 

Il arrive qu’on souhaite réaliser la construction de plusieurs maisons sur la même parcelle mais qu’on ne sache pas comment procéder à une division formelle. Ou souhaitez-vous vendre votre partie non utilisée ? La division parcellaire est donc l’alternative vers laquelle vous devez vous tourner.

La division parcellaire est souvent décrite comme la division de votre terre en sections. De nombreuses situations peuvent vous pousser à scinder une parcelle. Avant tout, il est important de savoir si votre terrain peut être divisé et connaitre les nombreux motifs qui peuvent justifier cette division. Enfin, il sera judicieux de connaitre les démarches à suivre pour réaliser sa division parcellaire.

Qu’est-ce que la division parcellaire ?

Diviser une parcelle de terrain est le fait de diviser votre terrain en plusieurs lots constructibles. Il s’agit d’une solution courante à laquelle on a recours lorsqu’on souhaite construire de nombreux logements sur la même parcelle ou effectuer la vente d’une partie des terres.

Division parcellaire : pourquoi faire ?

Les gens divisent les terres pour différentes raisons.

Augmentez la valeur marchande de votre actif: Votre terrain peut vous sembler trop grand et vous pourriez avoir du mal à le vendre. Dans les régions, les petits lots sont plus susceptibles d’être vendus que les grandes parcelles. Donc, si vous avez un grand terrain à vendre, il serait peut-être plus facile de réaliser vos ventes s’il est subdivisé en plusieurs lots.

Gagner de l’argent : Si vous êtes un promoteur immobilier, vous souhaitez forcément obtenir un certain profit de votre investissement immobilier. Vous voulez vendre votre terrain et vous rendez compte que vous aurez plus de bénéfice à vendre pas une mais deux parcelles séparées. Diviser votre terrain et vendre chaque parcelle à un autre acheteur est un moyen d’y parvenir.

Réduire la taille de son terrain tout en restant flexible : Entretenir une grande parcelle de terre n’est pas une chose facile. Si certaines de vos terres ne sont pas utilisées et que vous ne disposez pas des moyens d’entretenir toute la terre, la division parcellaire est une solution. En scindant la parcelle, vous pouvez encore en conserver une partie et céder le reste à un autre acheteur. Grâce à cela, vous obtiendrez des gains supplémentaires et votre flexibilité sera réduite ou augmentée.

Construire un ou des logements supplémentaires : Dans de nombreuses régions, il est interdit de construire plusieurs maisons sur un terrain. En fractionnant un vaste terrain, il vous sera possible d’obtenir de nombreux terrains à bâtir qui vous permettront de construire plusieurs logements près de la vôtre.

Enfin, la division parcellaire est aussi envisageable lorsque vous avez un projet de construction de location sur le même terrain que vous utilisez actuellement.

Comment faire la division parcellaire ?

La réalisation de la division parcellaire requiert le respect d’un certain nombre d’étapes.

Étape 1 : connaitre la possibilité de division de la parcelle

Certaines conditions doivent être remplies avant le début de la division parcellaire. En ce sens, il ets important que le terrain soit en parfaite conformité avec les législations urbaines en vigueur. En ce sens, nous vous conseillons de réaliser une étude du Plan Local d’Urbanisme de votre commune. Votre mairie peut vous demander différents documents complémentaires dans le cadre de votre projet. Il s’agit notamment du Plan de Prévention des risques Naturels, dans le cas où la commune est concernée.

De même, si votre terrain se trouve près d’un bâtiment historique ou dans une zone classée, obtenir un avis des Architectes des Bâtiments de France qui sera par la suite transmis à la mairie sera nécessaire.

La configuration de votre terre est également à prendre compte dans le cadre d’un projet de division parcellaire. En effet, un terrain incliné ou escarpé peut compliquer la division parcellaire.

Aussi, l’implantation de votre logement existant sur le terrain ne doit pas être à l’origine d’un éventuel vis-à-vis avec les travaux d’aménagement futurs. De même, le projet peut être plus complexe si votre maison existante est placée au milieu de la parcelle.

Étape 2 : savoir à qui s’adresser

Tout d’abord, pour faire votre partage foncier, vous pouvez vous rendre à votre mairie et demander un certificat d’urbanisme qui y opère.

Celui-ci vous permet alors de connaître toutes les possibilités d’aménagement et de découpage autorisées par la loi d’aménagement du territoire. Le délai d’obtention du certificat d’urbanisme opérationnel est de 2 mois suivant le dépôt de la demande et sa durée de validité est d’au moins 18 mois, avec la possibilité de prolongement d’un an.

A noter que l’obtention de ce document n’est pas une obligation. Toutefois, il est fortement conseillé d’en disposer pour votre division parcellaire.

Vous devez ensuite vous adresser à un géomètre pour procéder à la délimitation de votre terrain. La délimitation des terres est une activité qui consiste à fixer les limites d’un terrain afin de faire respecter les limites d’un bien. Cette étape nécessite un entretien avec les voisins ainsi que la rédaction d’un procès-verbal de bornage. Une démarcation judiciaire obtenue à la Cour suprême a également été demandée si les voisins étaient en désaccord avec la démarcation souhaitée.

Étape 3 : Effectuer les démarches administratives pour le terrain

Bien sûr, il faut prendre certaines mesures pour diviser le terrain après la visite d’un géomètre. En tant que propriétaire du terrain, vous devez faire tous les travaux nécessaires pour diviser votre parcelle. Les étapes varient en fonction de votre situation.

Si vous souhaitez simplement diviser votre terrain pour une vente partielle sans y faire de construction, vous aurez besoin d’un permis d’urbanisme ou d’une pré-déclaration. Les deux permettent la création de parcelles de terrain intégrées dans un seul lot de terre.

En termes de permis d’aménagement, une route ou un espace doit être aménagé en contradiction avec les revendications territoriales antérieures. La période d’instruction pré-déclaration du lotissement est d’un mois tandis que la durée du permis d’urbanisme est de trois mois.

Par conséquent, ces deux documents permettent la division du terrain sans autorisation de construction.

Si vous souhaitez construire un bâtiment dans une autre section, vous devrez envisager de demander un permis de construire. Ce permis de construire présente des différences avec le permis de construire classique car le rajout d’un plan de division du terrain au dossier à déposer est nécessaire.

 

L’être humain a tendance à toujours vouloir plus. Quoi de mieux que d’avoir ce que l’on veut et désir surtout par ces temps de crise où plus rien n’est sûr. Alors que qu’on observe une baisse de la rentabilité des fonds euro des assurances-vie, pourquoi ne pas penser à une autre alternative comme les investissements, et plus précisément les SCPI qui ont de plus en plus de la cote auprès des français.

Qu’est-ce que les SCPI ?

Les SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobiliers) sont des sociétés qui sont spécialisées dans le placement collectif dans le domaine de l’immobilier. Elles permettent donc d’acquérir et en même temps de gérer un patrimoine immobilier, d’entreprise pour le compte des investisseurs qui en ont des parts sociales. De ce fait, elles offrent les mêmes avantages de l’immobilier dans la gestion d’un patrimoine aux particuliers qui ont investi dans l’immobilier grâce à un support collectif.

Quelles sont les différentes SCPI existantes ?

Il existe plusieurs catégories de Sociétés Civiles de Placement Immobiliers parmi lesquelles nous pouvons trouver :

–         Les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers de rendement

Ces SCPI ont pour rôle de servir des revenus qui sont réguliers tout en favorisant le rendement sur la plus-value au terme. De ce fait les parties du marché de l’immobilier dans lesquelles les SCPI de rendement peuvent investir sont les bureaux, les locaux commerciaux, les habitations, les locaux d’activité, les parkings etc.

Tandis que certaines Sociétés Civiles de Placement Immobiliers se focalisent sur les différentes parties énumérées plus haut du marché de l’immobilier, d’autres se spécialisent dans uniquement un seul secteur comme les murs de boutique ou autre.

En somme, les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers de rendement vous permettent simplement d’avoir un complément de revenus qui est régulier

–         Les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers de plus-values ou de valorisation

Les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers de plus-values quant à elles permettent de réaliser des plus-values qui sont importantes tout en octroyant peu de revenus. Une action qui est très attractive pour certains contribuables. Certaines de ces SCPI se focalisent sur les locaux loués, l’acquisition de propriétés qui sont encore nues.

Les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers de valorisation nous permettent d’accroître un capital et cela sur une période donnée.

–         Les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers fiscales

Les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers quant à elles relèvent du domaine fiscal de faveur qui est à la fois Malraux ou encore Duflot. Ainsi il existe plusieurs types de Sociétés Civiles de Placement Immobiliers fiscales qui sont :

  • Les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers fiscales Malraux

Ces SCPI sont réservées aux investissements dans les anciens immobiliers

  • Les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers fiscales Duflot ou Pinel

Ce sont les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers fiscales qui sont spécialisées dans l’investissement des immobiliers neufs

  • Sociétés Civiles de Placement Immobiliers fiscales foncier

Sociétés Civiles de Placement Immobiliers fiscales foncier quant à elles autorisent aux investisseurs d’imputer les déficits fonciers qui ont été engendrés par les différents travaux de rénovation.

Les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers fiscales vous permettent d’accroître votre patrimoine tout en réduisant votre fiscalité ce qui revient à payer moins d’impôts.

Pourquoi investir dans les SCPI ?

Devenues de plus en plus les stars de l’épargne, les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers offrent de nombreux avantages qui leur ont permis de rencontrer du succès depuis des années auprès de 500 000 associés.

Comme différents avantages qu’offre un investissement via les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers, nous avons :

–         Un risque minimisé

En effet, investir dans un seul secteur en y mettant toutes nos économies est toujours risqué. Grâce aux Sociétés Civiles de Placement Immobiliers qui investissent dans de nombreux secteurs à des prix différents, les risques sont ainsi diminués. Ce qui représente un des avantages des SCPI, de ne pas mettre les « œufs dans le même panier », un adage qui représente même les SCPI.

–         Un accès facile au secteur de l’immobilier

Grâce aux SCPI qui permettent de pouvoir investir facilement et à des prix qui sont justes et abordables, investissez dans les biens que vous voulez sans pour autant vous préoccuper de la disponibilité financière. Les parts des SCPI  pouvant être achetées en euros, il est donc facile de déterminer l’investissement que vous voulez en fonction de vos ressources. Avec les SCPI investissez tranquillement selon votre budget.

–         La surveillance de votre placement

Grâce à la surveillance unique et étroite des SCPI par l’AMF (Autorité des Marchés Financiers) représente une garantie pour les investisseurs qui font partie de cette communauté ou qui aspirent à investir.

–         La transparence pour les investisseurs

Les Sociétés Civiles de Placement Immobiliers qui sont contrôlées et soumis aux visas de l’Autorité des Marchés Financiers ont à cœur les intérêts des investisseurs sont tenus de maintenir une certaine transparence vis-à-vis de leurs investisseurs. En tant qu’investisseur, bénéficiez de la part des Sociétés Civiles de Placement Immobiliers d’une transparence de toutes les informations que vous avez fournies et qui vous concernent.

–         L’immobilier un secteur de plus en plus rentable

Longtemps réservé aux grands comptes mais également aux institutionnels, le secteur de l’immobilier tertiaire connait un grand changement. Grâce aux Sociétés Civiles de Placement Immobiliers, plus précisément à celles de rendement, il est possible d’investir sur le marché de l’immobilier tertiaire qui connait de plus en plus un grand développement et  devient plus rentable malgré la crise sanitaire.

Par les temps incertains qui courent, rien de mieux que de se faire des revenus qui seront réguliers ou encore de payer moins d’impôts. Et pour cela rien de tel que de procéder à des investissements dans l’immobilier qui connait de plus en plus un essor fulgurant et ce à travers les SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobiliers). Grâce aux SCPI qui offrent de nombreux d’avantages tels que la réduction des impôts qui peut s’étendre sur une très longue durée, rendez vous la vie meilleure et pourquoi ne pas préparer en même temps votre retraite.

 

Les propriétaires qui font de la location d‘un ou de plusieurs logements meublés sont soumis au statut LMNP. Celui-ci signifie loueur meublé non professionnel et confère de nombreux avantages notamment sur le plan fiscal. Pour disposer de ce statut, il est obligatoire que la location soit meublée et que les revenus soient imposés au BIC (bénéfices industriels et commerciaux. Dès lors, il est important pour toute personne qui souhaite se lancer dans cet investissement de connaitre les différents avantages qui seront à disposition.

Des avantages qui peuvent varier en fonction des contextes 

Avant tout, il convient de souligner que les avantages de l’investissement LMNP  peuvent évoluer et s’apprécier selon le contexte. En effet, ils peuvent être très considérables dans certaines situations et être insignifiants dans d’autres cas. C’est d’ailleurs pourquoi il est conseillé de faire une analyse de la situation pour être sûr que les bénéfices s’y accordent parfaitement. Dans tous les cas, il est essentiel que les avantages de l’investissement LMNP soient en phase avec vos objectifs personnels.

La fiscalité 

C’est le tout premier avantage de l’investissement LMNP. Cet avantage est notamment du au régime et à la catégorie des revenus perçus.

Récupération de la TVA 

Avec le statut LMNP, vous disposez d’un statut de commerçant grâce auquel vous pourrez récupérer  d’un coup l’intégralité de la TVA du bien. Ce qui équivaut à 20% du prix d’achat. La récupération se fait généralement 6 mois après la première location du logement. Ainsi, tout investisseur LMNP a la possibilité de récupérer la TVA de son acquisition immobilière.

Par exemple, si vous achetez un bien immobilier neuf à 180 000 euros avec 40 000 euros de TVA, vous ne dépenserez que 180 000 euros au final.

Réduction d’impôts

L’autre avantage de l’investissement LMNP est la réduction d’impôt. En effet, on distingue la loi Censi-Bouvard qui est rattachée à ce statut et qui permet aux  investisseurs d’obtenir une réduction d’impôts sur le revenu. Cette réduction est estimée à 11% repartis sur une durée de 9 ans.

Si vous voulez profiter de cette réduction fiscale, vous devez prendre l’engagement de mettre en location votre bien immobilier pendant au moins 9 ans.

Par ailleurs, il faut noter que lorsqu’il y a une vente, on assiste à l’exonération d’impôt sur les plus-values du bien immobilier loué en LMNP. Et ce, suite à 22 ans de détention.

Amortissement du bien

L’investissement LMNP offre aussi l’avantage d’amortir votre bien sur une durée définie. En réalité, il faut dire qu’il y a une similarité entre les amortissements et les charges déductibles sur le revenu. De ce fait, il n’y a aucun moyen qu’un déficit ou un gain sur les revenus globaux soit réalisé.

Toutefois, lorsque les amortissements annuels dépassent le résultat annuel d’exploitation, alors il est possible de les reporter sur les années à venir.

Avec le statut LMNP, vous avez la possibilité d’amortir tout votre investissement immobilier  sur 30 ans.

La gestion 

On note aussi parmi les avantages de l’investissement LMNP la facilité de la gestion. En effet,  c’est un gestionnaire qui se charge de la gestion du bien en question. Ainsi, c’est lui qui aura la mission d’aller trouver des locataires et de percevoir les loyers.

La plupart du temps, les investisseurs se tournent vers une société d’exploitation professionnelle. En fonction de votre bail commercial, celle-ci va assurer l’ensemble des démarches liées  à la location. Elle vous versera également les loyers.

Vous l’aurez compris, vous ne ferez face à aucune contrainte de gestion. Ni la recherche de locataire encore moins les petits travaux de rénovation ne seront une charge pour vous. Tout sera géré par l’exploitant. Grâce à cela, vous gagnez du temps et pourrez-vous concentrer sur d’autres priorités.

La garantie du bail commercial 

Avec l’investissement LMNP, c’est le régime du bail commercial qui régit la relation entre l’investisseur et l’exploitant du logement. De plus, il est possible de prolonger la durée de ce bail lorsqu’il était défini à une durée  fixe.  A noter que ce bail est une grande protection pour l’investisseur.

En effet, ce dernier aura la garantie de toucher son loyer quel que soit la situation, sauf en cas de faillite de l’exploitation. De même, l’investisseur sera assuré d’une indexation du montant du loyer fixé dans le contrat. Aussi, il lui sera possible de faire l’organisation des charges  d’entretien entre lui et le preneur à bail.

La simplicité du statut 

Certains investisseurs croient que le statut LMNP est très lourd alors que tel n’est pas le cas. En effet, le statut de loueur en meublé non professionnel est un statut extrêmement simple sur tous les plans. Cependant, il est conseillé de faire appel à un expert qui pourra vous faire bénéficier de son accompagnement et de ses conseils. Il pourra alors vous assister dans la déclaration de revenus BIC qui se distingue par son aspect assez particulier. Par conséquent, recourir à un expert vous permettra de mieux appréhender le statut de LMNP.

Réduction des frais d’acquisition 

Un autre avantage de l’investissement LMNP est qu’il permet à l’investir de faire une déduction des frais d’acquisition qu’il a eu à subir. Il s’agit notamment des frais de garantie, des frais d’acte auprès du notariat, la rémunération, les émoluments de notaire, etc.

Il faut dire que la possibilité de déduire les frais d’acquisition constitue un avantage majeur de ce type d’investissement.

Liberté de changer de régime tous les ans :

Depuis l’année  2018, il est désormais possible de changer de régime au bout d’un an, ce qui n’était pas possible avant. Grâce à cela, vous pourrez changer de régime en fonction de vos objectifs personnels. En effet, vous pourrez facilement passer d’un régime à un autre en vous tournant vers une alternative beaucoup plus avantageuse.

Pour changer de régime, il faut transmettre au centre des impôts un courrier de levée d’option. A noter que l’envoi doit se faire avant le 1er février de l’année fiscale de la modification.

Au vu de tous ces avantages, il est évident que l’investissement en LMNP est très bénéfique pour les investisseurs. Ceux-ci pourront largement en profiter surtout s’ils font appel à un agent immobilier spécialiste du procédé et du secteur !