Le premier mode de chauffage a été mis au point il y a environ 1 million d’années. Bien avant le panneau solaire thermique ou la pompe à chaleur géothermique, il y avait… le feu de camp. Tout simplement. Trop simplement, peut-être : au fil des siècles, des millénaires, les scientifiques hominidés ont rivalisé d’ingéniosité pour profiter d’un confort thermique au sein de leur foyer, de manière plus sophistiquée et sécurisée.
Le mot foyer n’a rien d’anodin, d’ailleurs : il désigne, étymologiquement, l’endroit où se trouve le feu, l’âtre ; et donc l’âme d’une maison. Car oui, le système de chauffage tient une place essentielle dans une habitation. Non seulement il contribue au bien-être des occupants mais il reflète également, à un niveau sociologique, l’évolution des technologies, des pratiques sociales et des préoccupations environnementales à travers les âges.
Voici notre dossier complet sur la question, en commençant par une petite contextualisation.
Le mode de chauffage, cette balise temporelle
Le mode de chauffage apparaît comme une vraie boussole, douillette et emblématique, qui donne à observer les capacités adaptationnelles de l’humanité face à son environnement. Surtout face aux défis qui se présentent à lui. Mais nous ne sommes pas sur un blog d’histoire ; c’est donc en tant qu’agence immobilière que nous abordons ce sujet essentiel.
Certes, il aurait été passionnant de décrire le foyer ouvert (première vraie innovation après le feu de camp) ou la cheminée médiévale. Cela dit, on s’éloignerait un peu trop des préoccupations actuelles. Notre parcours va se focaliser sur les dispositifs de chauffage des XXe (à partir des années 1970) et XXIe siècle.
Comme dans bien d’autres domaines, on a pu assister à un essor important sur le plan technique. À une multiplication des possibilités. Petit à petit, les chercheurs sont parvenus à concilier efficacité, ergonomie… et écologie.
Ce progrès place les propriétaires français face à des problématiques d’envergure. Notamment celles liées à la rénovation énergétique.
Entre sanctions potentielles et aides financières, il faut trouver ses repères. Se demander ce qui pourrait freiner ou, au contraire, attirer des acquéreurs lors d’une vente. Sachant que dans le cas des passoires thermiques (les bâtiments qui consomment beaucoup trop d’énergies proportionnellement aux besoins réels), des difficultés se présentent aussi dans le domaine de la location.
Approfondissons cette thématique selon une approche méthodique et chronologique.
Le chauffage au charbon et au fioul : les deux vétérans du confort thermique moderne
Dans les années 1970, on considérait le chauffage au charbon comme le must du genre. Il ravissait par sa grande efficacité et sa belle accessibilité. Il permettait d’obtenir un confort thermique suffisant tout en ménageant son budget. On en profitait via les poêles individuels, combinés aux chaudières centrales ; ces dernières servant du fameux matériau noir comme combustible.
Seulement voilà : la combustion du charbon libère d’importantes quantités de polluants. Parmi eux, le dioxyde de soufre, certains oxydes d’azote et des particules fines. De quoi impacter la qualité de l’air et entraîne des problèmes de santé publique. Sans oublier la dimension écologique : pendant le processus, une quantité très importante de gaz à effet de serre se libère.
Au fil des décennies, cette solution de chauffage a fait l’objet de critiques multiples. Il semblait impossible d’en interdire l’utilisation du jour au lendemain ; toutefois l’idée de s’en distancer a commencé à germer. C’est le 1er juillet 2022 que la France a pris un véritable virage législatif : à partir de cette date-là, l’installation d’une chaudière au charbon est frappée d’interdiction. Bien qu’il existe des exceptions et des nuances, on assiste donc à « l’extinction » de ce système.
La chaudière au fioul connaît un sort similaire. Son combustible, le fioul donc, s’est révélé tout aussi polluant. De même, et à l’instar du charbon, il ne permet pas de répondre aux exigences du développement durable. Les deux ressources sont dites non-renouvelables ; leur extraction et leur emploi mènent à l’épuisement du grenier géologique naturel.
Renoncer au fioul et au charbon, c’est protéger la valeur de son bien immobilier
Se pencher sur l’histoire du chauffage, c’est observer une prise de conscience progressive. Ce qui semblait correspondre à une opportunité exceptionnelle… révèle peu à peu ses limites. Voire ses dangers.
De nos jours, une installation thermique (souvent utile à obtenir de l’eau chaude sanitaire par la même occasion) doit s’aligner avec les objectifs verts. Dans le cas contraire, la vente de son bien immobilier se heurtera à de nombreuses difficultés.
Nous n’approfondirons pas ce dossier, car il faudrait lui consacrer un billet entier. Toujours est-il qu’au vu des normes actuelles, le fioul et le charbon ne permettent pas d’atteindre la performance énergétique requise.
Chaudières à fioul et à charbon : ce qu’il faut retenir en un clin d’œil
- Sur le plan technique, les chaudières à fioul et à charbon permettent de se chauffer efficacement, à moindre coût.
- Malheureusement, les conséquences sur le plan écologique sont importantes, que ce soit au niveau de la gestion des ressources ou de la pollution.
- Ces deux modes de chauffage sont donc en voie d’extinction.
La chaudière électrique : une solution de chauffage efficace, mais qui a ses limites
Fondamentalement, le chauffage électrique suppose moins de pollution que les systèmes de chauffage fonctionnant au fioul ou au charbon. C’est d’ailleurs devenu une alternative intéressante dans les années 1970 et 1980, quand les premiers signes de défiance envers les deux énergies fossiles se sont manifestés.
À la clé, une diffusion de la chaleur plus homogène, mais aussi une obtention plus rapide du précieux confort thermique désiré.
Toutefois, il ne s’agit pas de la solution idéale. D’abord parce qu’elle laisse redouter des factures d’électricité élevées. Ensuite car son impact écologique dépend étroitement de la manière dont l’énergie est produite en amont. On peut parler d’une petite évolution, d’un pas en avant, mais sans toujours atteindre un équilibre satisfaisant entre efficacité, propreté et coûts d’utilisation.
Au moment d’une transaction immobilière, la présence de ce mode de chauffage se révèle beaucoup moins problématique que dans le cas précédent. La différence va, en principe, se loger dans l’ancienneté de la chaudière électrique. Les modèles plus récents, par définition, répondent mieux aux enjeux environnementaux.
Dans un registre similaire (et souvent conjugué !), les radiateurs à baisse température ont davantage leur place dans le paysage technologique actuel que leurs équivalents classiques.
Profitons de cette remarque pour souligner un point intéressant. Si l’on excepte les chaudières à fioul et à charbon, condamnées à devenir des pièces de musée, les modes de chauffage peuvent être plus ou moins performant énergétiquement et abordables économiquement en fonction de leur sophistication et de leur ancienneté. Cela vous orientera, mécaniquement, sur la nécessité (ou non) de remplacer le mode de chauffage avant une vente, ou dans l’optique de rénover votre logement.
Chaudière électrique : ce qu’il faut retenir en un clin d’œil
- La chaudière électrique permet de se réchauffer rapidement, et provoque moins d’inégalités dans la distribution de la chaleur à travers une pièce.
- Selon les modes de production en amont, son empreinte carbone varie.
- En fonction de « l’âge » du dispositif, les performances énergétiques et le prix de la facture sont susceptibles de varier.
La chaudière à gaz : un mode de chauffage entre deux feux
La chaudière à gaz compte parmi les systèmes de chauffage couramment utilisés et appréciés dans de nombreux foyers français. Bien que la répartition de la chaleur ne soit pas aussi uniforme qu’avec une itération électrique, on peut tout de même relever (avec quelques bémols, nous le verrons plus bas) une efficacité énergétique satisfaisante et une facilité d’utilisation au quotidien, nécessitant un moindre entretien.
Au moment de la combustion, le dégagement des gaz polluants se révèle beaucoup plus modeste que dans le cadre d’une chaudière fioul, par exemple.
Qui plus est, les chaudières à gaz modernes, plus précisément les modèles dits « à condensation » récupèrent la chaleur des gaz d’échappement (ceux qui sont évacués par les conduits, donc), ce qui mène à réduire la consommation de gaz et les émissions de dioxyde de carbone.
Sur le plan pécunier, les frais mensuels sont en principe plus abordables que dans le cadre d’une chaudière électrique. Prudence, toutefois, à ne pas tirer de conclusions hâtives. La guerre en Ukraine, pour ne citer qu’un exemple, a entraîné un mouvement de panique sur les marchés. Les sanctions imposées à la Russie ont bouleversé le jeu de l’offre et de la demande. Plusieurs entreprises et foyers ont vu le montant de leur facture grimper considérablement.
D’une certaine manière, on peut dire que la chaudière gaz est une solution médiane. Elle n’a pas les caractéristiques novatrices d’une pompe à chaleur, mais affiche tout de même des qualités intéressantes. Le fait qu’elle fonctionne grâce à des ressources non-renouvelable et qu’elle reste tout de même à l’origine d’une certaine pollution contribuent toutefois, et progressivement, au déclin de sa popularité.
Sur le marché de l’immobilier, elle n’est pas rédhibitoire, mais nous vous recommandons d’envisager un nouveau mode de chauffage si vous en avez les moyens ; il n’est pas exclu que celui-ci devienne désuet d’ici la fin de la décennie.
Chaudière gaz : ce qu’il faut retenir en un clin d’œil
- La chaudière gaz permet de se chauffer (hors conjonctures exceptionnelles) à moindre coût et facilement.
- L’obtention du confort thermique est moins rapide et homogène qu’avec une alternative électrique.
- La chaudière à condensation apparaît comme la variante la plus propre à ce jour.
- Ce mode de chauffage devrait perdre en représentativité dans la deuxième moitié des années 2020, au profit d’autres systèmes.
La pompe à chaleur, ou la grande vedette de la décennie 2020
La pompe à chaleur faisait déjà parler d’elle au XXe siècle, mais c’est la transition énergétique qui l’a véritablement placée sur le devant de la scène.
Et pour cause : son fonctionnement combine des avantages multiples.
- Au niveau écologique, elle ne mobilise aucune énergie non renouvelable. Ses capteurs permettent de « récupérer » les calories contenues dans l’air (pour la PAC air/eau ou air/air) Ces dernières, par un jeu de compression et de détente d’un fluide réfrigérant, sont transformées en chaleur. Dans le cas d’une PAC géothermique, ce sont les calories présentes dans le sol ou dans l’eau souterraine qui sont extraites.
On ne saurait parler d’une installation « zéro émission » puisqu’elle a besoin d’électricité pour fonctionner ; à moins de la coupler à un panneau solaire photovoltaïque. Toutefois, la consommation énergétique reste bien inférieure à celle d’une chaudière électrique ou d’une chaudière gaz.
- Cela se ressent au moment du décompte. Certains propriétaires décident de franchir le pas en sachant que l’investissement initial permet d’apprécier des économies sur le moyen et long terme.
- Pour finir, le confort thermique apporté est indéniable. Les PAC fournissent une chaleur douce et constante, améliorant le quotidien des habitants tout en maintenant une température stable. Mieux encore : la déclinaison air/air se dote de propriétés réversibles. Autrement dit, elle laisse envisager le rafraîchissement des espaces (climatisation) pendant les mois les plus chauds, offrant ainsi une solution tout-en-un, gage d’un bien-être saison après saison.
La pompe à chaleur : un (très) bon point pour la valeur d’un bien immobilier
Si la maison ou l’immeuble que vous souhaitez mettre en vente accueille déjà une PAC (et qu’elle est toujours fonctionnelle, évidemment), vous ajoutez une belle pièce à votre dossier.
En effet, la pompe à chaleur fait partie des gages d’écoresponsabilité. C’est pourquoi de nombreuses subventions et aides financières existent à son acquisition. Les gouvernements européens, chacun à leur manière, encouragent la mise en place de ces modes de chauffage nouvelle génération.
Pompe à chaleur : ce qu’il faut retenir en un coup d’œil
- La pompe à chaleur fait partie des systèmes de chauffage les plus populaires en 2024.
- Elle est connue pour participer grandement à la performance énergétique d’un édifice. Attention : une mauvaise isolation peut compromettre cet exploit.
- Les apports écologiques de cette alternative ne manquent pas. Elle fait la part belle aux sources d’énergie renouvelables.
- Vous pouvez espérer une réduction significative de vos charges liées à l’énergie.
Le panneau solaire thermique : entre espoir et scepticisme
Le panneau solaire thermique fait l’objet de nombreux débats.
Certains voient en lui le mode de chauffage de demain… voire d’aujourd’hui. Ils saluent son autonomie, notamment : cet équipement permet de transformer les rayons du soleil en chaleur… sans connexion au réseau domestique.
D’autres considèrent cette solution comme trop élitiste. Il est vrai que malgré un gain d’accessibilité depuis quelques années, posséder un panneau solaire n’est pas à la portée de toutes les bourses. Au-delà, sans mauvais jeu de mot, le rayonnement de ces systèmes de chauffage reste limité par rapport à ses équivalents. Il est difficile de fournir toute une résidence sans un module complémentaire ; par exemple une PAC.
Puisque les recherches se poursuivent, on peut spéculer sur une amélioration exponentielle de cette technologie. Ainsi, dans quelques années, il deviendra de plus en plus intéressant d’appliquer une tuile solaire à la charpente du toit, par exemple.
Le panneau solaire thermique : un allié évident pour édifier certains logements intelligents
Une chose est certaine : le panneau solaire thermique a de grandes affinités avec les nouvelles approches « smart », privilégiant les maisons autonomes, propres et agréables à utiliser. Le tout avec cette idée d’automatisation et de connectivité. Votre smartphone peut permettre de tout moduler… depuis le monde entier !
Aussi, lorsqu’il forme un duo avec le panneau solaire photovoltaïque, il fait atteindre nouveaux sommets à la rationalisation énergétique. L’électricité et le chauffage s’obtiennent sans émissions de gaz à effets de serre, et sans recours au réseau courant.
Si vous choisissez de franchir ce seuil, vous ferez définitivement rimer modernisation et rénovation. Ne serait-ce que symboliquement, le panneau solaire thermique embrasse les idéaux écologiques ; et tous les objectifs qui l’accompagnent.
Panneau solaire thermique : ce qu’il faut retenir en un coup d’œil
- C’est un mode de chauffage très intéressant pour son impeccable propreté, elle-même liée à son autonomie.
- Le coût d’acquisition baisse petit à petit, mais reste important, et même beaucoup plus important que pour d’autres systèmes.
- Les opportunités smart se multiplient : contrôle à distance, facilité d’utilisation, etc.
- Attention : le rayon d’action reste trop limité selon les besoins en confort thermique ; notamment en termes de surface.
Chauffages d’hier, d’aujourd’hui et de demain… à quand le prochain ?
Nous n’avons pas pu aborder toutes les alternatives – mentionnons rapidement la chaudière biomasse, qui présente à son tour plusieurs arguments. Elle consiste à employer des matières organiques en tant que combustibles.
Le poêle à bois, lui, se prête parfaitement à l’aménagement d’une résidence secondaire. Proche d’une cheminée dans son concept, il communique une réconfortante chaleur à celles/ceux qui se trouvent à proximité.
Si vous êtes propriétaire, au moment d’acheter, louer ou tout simplement de vivre sur place, tous les critères que nous venons de mettre en exergue doivent être considérés. Le prix d’acquisition, la performance énergétique, la surface à couvrir, le confort…
Gardez à l’esprit que les tendances sont amenées à évoluer rapidement. La chaudière fioul ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir. Et qui sait combien de temps la chaudière gaz restera une solution raisonnable ?
Vous avez des hésitations ? Des questions ? Nous nous tenons à votre disposition. Nos connaissances concernant les braises préhistoriques sont un peu plus limitées, mais l’époque contemporaine, ses challenges, ses lignes de force… c’est notre spécialité !
Et qui sait ? Peut-être que d’ici quelques années, nous aurons une nouvelle invention à vous présenter. L’être humain n’en aura sans doute jamais fini d’étendre ses possibilités.
Où habiter à Rumilly ?
Rumilly est une charmante ville située dans le département de la Haute-Savoie, plus globalement en région Auvergne-Rhône-Alpes, au sud-est de la France. Elle se loge entre Annecy, brillant chef-lieu du 74, et Aix-les-Bains, célèbre pour ses thermes… comme son nom l’indique.
Sans être aussi peuplée et connue que d’autres cités alpines, Rumilly ne manque pas de charmes pour autant. Les amateurs de cyclotourisme arpentent volontiers les « routes à vélo » de l’Albanais, ce « territoire entre lacs et montagnes » (source) dont elle est la capitale. Il se prête à toutes sortes de randonnées et d’activités sportives.
Quoi qu’il en soit, la fresque diversifiée de Rumilly et de ses environs emprunte au médiéval comme à la modernité. En aucun cas coupé du monde, ce hameau campagnard conviendra particulièrement aux propriétaires qui préfèrent les plus petites communautés, tout en profitant d’un bouquet généreux de commodités (magasins, restaurants, bâtiments de services, maisons de quartier…) à proximité.
Concernant le marché immobilier, les prix des biens immobiliers à Rumilly ont connu une évolution de 2% en un an. Le prix moyen au m^2 est estimé à 3276 € selon les dernières estimations (2023). Les maisons individuelles constituent 32.08% du parc immobilier, tandis que les appartements en couvrent 67.44%. Une majorité des habitants (53.08%) est propriétaire de sa résidence principale, et le reste des habitations se répartit entre locations et les logements vacants.
En tant qu’agence immobilière justement, nous tenons à vous guider dans votre prospection ; celle qui vous mènera jusqu’à la maison ou à l’appartement dont vous rêvez. C’est ainsi qu’arrive la question principale de ce billet : où habiter à Rumilly ? Quelles sont les différentes possibilités qui s’offrent à vous si vous choisissez cette ville de Haute-Savoie ? Voici quelques éléments à considérer.
Pourquoi habiter dans le centre-ville de Rumilly ?
Le centre-ville de Rumilly est, sans surprise, le district le plus animé… du moins, par rapport aux autres parties de la commune. Si vous y achetez une maison ou un appartement, vous apprécierez la présence de plusieurs commerces dans les environs : le site Kel Quartier évoque 1,4 enseignes tous les 100m. Notons tout de même que pour plusieurs internautes, l’éventail des magasins et échoppes reste assez limitée. Si bien que des trajets jusqu’à Annecy, par exemple, peuvent être nécessaires selon ce que vous recherchez.
En termes d’établissements scolaires, la densité est favorable : on compte 8,1 crèches, écoles et lycées au kilomètre carré.
Le prix du logement varie évidemment d’une résidence ou d’un lotissement à l’autre, mais le mètre carré dépasse rarement les 4000€, y compris au cœur de la ville.
Côté inconvénients, les résidents déplorent d’importants engorgements du trafic routier aux heures de pointe. Cela se ressent d’autant plus dans la zone principale. Dans un autre registre, les jeunes gens ne pourront pas compter sur des événements ou des fêtes exaltantes – malgré une certaine dynamique associative, culturelle et sportive, Rumilly conviendra mieux à celles et ceux qui cherchent la tranquillité. On ne peut pas parler d’un endroit « vieillissant », pour autant : les tranches d’âge restent bien réparties, comme on peut le constater en explorant cette fiche démographique réalisée par le site Linternaute.
Vivre à Rumilly : quels sont les autres quartiers ?
Rumilly étant une petite ville, l’étendue des alternatives au moment d’acquérir un bien foncier reste assez limitée. On peut toutefois citer…
Régulièrement, les communes des alentours telles que Boussy, Aicle, L’Ermitage, Moye ou encore Sales laissent envisager un cadre encore plus paisible, et des opportunités très abordable lorsqu’on souhaite devenir propriétaire.
Pourquoi vivre à Rumilly ? Ce qu’il faut retenir
Rumilly est en cours de développement urbain ; c’est du moins ce qui ressort de nombreux commentaires à son propos. Certains y voient un signe de dynamisme – d’autres craignent une rupture avec l’esprit bucolique de la commune.
Globalement, la vie est agréable en cette petite cité de la Haute-Savoie. Elle occupe, à ce titre, la 157e position sur 34 808 des « villes et villages où il fait bon vivre » au niveau national et se hisse en première position parmi les communes de 10 000 à 20 000 habitants à l’échelle du département. Cela n’en fait pas un havre de paix absolu, mais si la sécurité et la minimisation des nuisances sonores font partie des vos priorités, cette bourgade se montre à la hauteur.
Contrairement à ce que l’on observe à Annecy par exemple, l’adresse où vous élirez domicile ne marque pas de différence majeure. Que ce soit au centre-ville, sur les Rives du Chéran ou dans le quartier Nord-Ouest, on retrouve cette sérénité de l’Albanais, joliment bariolée par la végétation, merveilleusement tutoyée par les cours d’eau de la région. La dynamique associative est limitée, mais il y a tout de même un esprit rumillien ; cela se ressent via les rencontres de quartier organisées régulièrement. Elles permettent aux élus et aux habitants de se retrouver pour discuter de Rumilly, de ses atouts… et des points à améliorer.
Vous imaginez habiter à Rumilly ? Vous cherchez un logement qui correspond à vos besoins et à vos moyens financiers ? N’hésitez pas à nous contacter. RD Immo ne limite pas son champ d’action aux grandes villes. Nous tenons à ce que chacun(e) puisse trouver son appartement ou sa maison, le tout sans complications.
Vendre son terrain : quelles obligations ?
Si à une certaine époque, une simple poignée de main ou un mariage faisaient changer de propriétaire un terrain, aujourd’hui, les choses ont fortement évolué. La vente de ce type nécessite, en effet, de suivre quelques règles incontournables.
Prendre connaissance des obligations légales vous évite le glissement vers un échec certain. Ce guide, reprenant les questions indispensables, permet de faire le tri entre les fausses idées et les impératifs lorsque l’on souhaite revendre son terrain !
Il est nécessaire d’obtenir un certificat d’urbanisme : FAUX
Vous n’êtes pas obligé de fournir un certificat d’urbanisme à la vente d’un terrain.
C’est cependant plus que recommandé !
Loin d’être une formalité, le fait de posséder un terrain ne vous autorise pas de facto à le vendre comme constructible, par exemple.
Le prix de vente s’avère aussi impacté par la nature et le classement de la zone. Il est, par conséquent, toujours bon de jeter un œil sur le plan d’urbanisme local.
Si vous êtes propriétaire ou héritier d’un terrain familial, une visite en mairie (également sur le site internet de la commune, rubrique urbanisme) vous permet de le consulter. Celui-ci indique dans quel type de zone se trouvent vos terres.
Zone urbaine ou à urbaniser ? Bonne nouvelle ! Le terrain est constructible.
En zone agricole, ou naturelle et forestière, le terrain est soumis à certaines restrictions, voir interdictions.
Notez enfin que le PLU (plan local d’urbanisme) a progressivement remplacé le POS (plan d’occupation des sols). Si votre commune ne possède ni l’un ni l’autre, c’est le règlement national d’urbanisme qui fait foi.
Il faut obligatoirement passer par un notaire : FAUX
Aucune loi n’oblige à prendre rendez-vous à l’office notarial pour la cession d’un terrain. Il s’agit alors d’un acte sous seing privé. Cela signifie que l’acheteur et le vendeur peuvent convenir de la rédaction d’un acte et décider de le signer sans la présence d’un notaire.
L’article 1582 du Code civil déclare que la vente est « une convention par laquelle l’un s’oblige à livrer une chose, et l’autre à la payer ». Toujours selon cet article, « Elle peut être faite par acte authentique » (c’est-à-dire établie par un notaire), « ou sous seing privé » (par un accord écrit entre les deux parties).
Cela étant dit, qu’il s’agisse de la vente du terrain familial entre un grand-père et son petit-fils ou d’une transaction entre deux étrangers, le recours au notaire constitue une garantie de légitimité de l’opération. Une protection pour les deux parties.
Afin que la vente soit considérée comme légale, il faut cependant qu’elle rassemble toutes les obligations, dans lesquelles le notaire est spécialisé.
Il est indispensable d’effectuer une étude de sol : VRAI, selon la localisation
Depuis la loi Élan de 2020, une étude doit être fournie avant toute vente de terrain, et ce, dans certaines zones du pays. Cette obligation répond aux besoins de prévention de divers risques liés au sol. En effet, les sols argileux et leurs mouvements (en période de sécheresse notamment) peuvent être la cause de sinistres sur les structures des bâtiments.
Une étude des sols permet au futur acheteur de connaître les dangers auxquels le terrain pourrait être exposé.
Il est obligatoire de procéder au bornage du terrain : FAUX et VRAI
Le bornage n’est pas obligatoire, légalement parlant. Mais l’usage le rend incontournable. Rappelons que cette opération a pour objectif de fixer la limite exacte entre votre terrain et celui de votre voisin.
L’acte est néanmoins obligatoire pour les situations suivantes :
Les contraintes en cas d’absence de bornage (rétractation possible à tout moment par l’acheteur) en font un cas très risqué et défavorable à toutes les parties, vendeur comme acheteur.
Pour un terrain isolé à bâtir
Un géomètre assure les relevés sur le terrain pour le borner. Les limites de propriétés sont ainsi clairement établies. Attention, si la zone est entourée d’autres terrains, chaque propriétaire marque son approbation au procès-verbal.
Pour un terrain redéfini
Si un terrain est vendu et morcelé en plusieurs parcelles, un document d’arpentage doit délimiter les nouvelles bornes. Ceci assure la mise à jour du plan cadastral de la commune.
Il faut réaliser un diagnostic ERP (état des risques et pollutions) : VRAI
Qu’il soit nu ou constructible, vous avez l’obligation de fournir ce diagnostic ERP à propos des risques auxquels votre terrain est exposé. Les informations de ce formulaire, rempli par le vendeur, sont disponibles en mairie.
Elles concernent les risques :
Ce document obligatoire pour la vente d’un terrain fait partie d’une mesure plus large : le DDT (dossier de diagnostic technique). Ce dernier réunit les différentes obligations qui varient selon les zones géographiques ou la nature de votre terrain.
L’ensemble du dossier doit, à ce jour, être fourni au potentiel acheteur dès le compromis de vente. Dans le cas de l’ERP, à la toute première visite.
Il est obligatoire d’établir un dossier de vente : VRAI
Cet écrit comporte les documents obligatoires à fournir à l’acheteur. Il comprend :
Les documents liés au terrain
Les documents liés au vendeur
Il faut signer un acte de vente : VRAI
Un acte de vente doit être établi et comprendre les mentions données par le décret n° 71-941 du 26 novembre 1971.
L’identité et le lieu de résidence des vendeur et acheteur ainsi que le descriptif du terrain et sa surface exacte constituent les premières informations de l’acte. L’existence d’un bornage du terrain ou la présence d’une hypothèque sont également renseignées.
N’oublions pas de mentionner les honoraires dus au professionnel chargé de la transaction et qui les règle. Cette information s’accompagne du prix de vente et des modes de paiement (avec ou sans l’aide d’un prêt immobilier).
Entre contraintes légales, usages incontournables et fausses idées, la vente d’un terrain est jalonnée d’étapes qui garantissent le succès de l’opération. Vous possédez maintenant toutes les informations nécessaires pour céder un terrain dans les meilleures conditions !
Les Quartiers Méconnus de Chambéry : Découvrez des Perles Immobilières Insoupçonnées
Chambéry, joyau des Alpes françaises, regorge de quartiers à la fois pittoresques et méconnus, offrant un cadre de vie unique et des opportunités immobilières exceptionnelles. Si certains quartiers comme le centre historique ou les zones résidentielles populaires sont bien connus, d’autres quartiers plus discrets méritent également toute votre attention lors de votre recherche immobilière. Voici un aperçu de ces quartiers méconnus où vous pourriez bien trouver la maison ou l’appartement de vos rêves.
1. La Cassine :
Situé au nord de Chambéry, le quartier de La Cassine est réputé pour son calme et sa tranquillité. Avec ses petites rues pavées, ses maisons anciennes et son ambiance conviviale, La Cassine offre un cadre de vie authentique et préservé. Les amateurs d’histoire apprécieront les nombreux bâtiments historiques et les vestiges du passé qui parsèment le quartier. Les biens immobiliers à La Cassine sont souvent des maisons de ville ou des appartements de caractère, offrant un charme unique et un excellent rapport qualité-prix.
2. Bissy :
Niché au sud-ouest de Chambéry, le quartier de Bissy est un véritable havre de paix. Entouré de verdure et bordé par le charmant ruisseau du Nant, Bissy offre un cadre de vie bucolique et agréable. Les familles apprécieront les nombreuses aires de jeux et les espaces verts qui parsèment le quartier, ainsi que la proximité des écoles et des commerces. Les biens immobiliers à Bissy sont variés, allant des maisons individuelles aux appartements modernes en passant par les villas avec jardin.
3. Bellevue :
Perché sur les hauteurs de Chambéry, le quartier de Bellevue offre des vues imprenables sur la ville et les montagnes environnantes. Avec ses ruelles pittoresques, ses jardins en terrasse et ses maisons traditionnelles en pierre, Bellevue a tout d’un village provençal. Les biens immobiliers à Bellevue sont souvent des maisons de caractère avec jardin ou des appartements avec balcon offrant des panoramas à couper le souffle.
Conclusion :
Ces quartiers méconnus de Chambéry regorgent de trésors cachés et d’opportunités immobilières intéressantes. Que vous recherchiez un cadre de vie paisible, un environnement verdoyant ou des vues panoramiques, vous trouverez votre bonheur dans l’un de ces quartiers insoupçonnés. N’hésitez pas à explorer ces quartiers lors de votre prochaine recherche immobilière à Chambéry, vous pourriez bien être agréablement surpris !
Les Tendances du Marché Immobilier à Aix-les-Bains en 2024 : Perspectives et Opportunités
Aix-les-Bains, joyau de la région Auvergne-Rhône-Alpes, célèbre pour ses eaux thermales et son cadre naturel exceptionnel, attire depuis longtemps les investisseurs et les acquéreurs immobiliers en quête de qualité de vie. En cette année 2024, le marché immobilier de la ville connaît des évolutions significatives, reflétant les besoins et les préférences changeantes des acheteurs. Dans cet article, nous explorerons en détail les tendances émergentes du marché immobilier à Aix-les-Bains et les opportunités qu’elles présentent pour les investisseurs et les acquéreurs potentiels.
1. Hausse de la demande pour les résidences principales
En 2024, on observe une augmentation notable de la demande pour les résidences principales à Aix-les-Bains. Cette tendance s’explique par plusieurs facteurs, dont la qualité de vie exceptionnelle offerte par la ville, son environnement naturel préservé et ses infrastructures modernes. De plus en plus de personnes cherchent à s’installer à Aix-les-Bains pour profiter de ses attraits, ce qui crée une demande soutenue pour les biens immobiliers résidentiels.
2. Expansion du marché de la résidence secondaire
Aix-les-Bains est également prisée par les acheteurs en quête d’une résidence secondaire. Avec son lac majestueux, ses activités de loisirs variées et son patrimoine culturel riche, la ville offre un cadre idéal pour une escapade en famille ou des vacances reposantes. En 2024, le marché de la résidence secondaire à Aix-les-Bains est en plein essor, avec une demande croissante pour les appartements et les maisons de vacances.
3. Montée en gamme de l’offre immobilière
Pour répondre à la demande croissante et attirer une clientèle exigeante, l’offre immobilière à Aix-les-Bains se distingue par une montée en gamme. Les nouveaux projets immobiliers mettent l’accent sur la qualité des constructions, les finitions haut de gamme et les équipements modernes. Cette tendance contribue à renforcer l’attrait de la ville auprès des acheteurs à la recherche de biens immobiliers haut de gamme.
4. Développement de nouveaux quartiers
En 2024, Aix-les-Bains connaît un développement urbain significatif, avec la création de nouveaux quartiers résidentiels. Ces nouveaux quartiers offrent un cadre de vie moderne et convivial, avec des espaces verts, des équipements publics et des services de proximité. Cette expansion urbaine permet de diversifier l’offre immobilière de la ville et de répondre aux besoins croissants de logement.
Conclusion :
En conclusion, le marché immobilier à Aix-les-Bains présente des perspectives dynamiques et des opportunités prometteuses pour les investisseurs et les acquéreurs immobiliers en 2024. Avec une demande soutenue pour les résidences principales et secondaires, une montée en gamme de l’offre immobilière et le développement de nouveaux quartiers, la ville continue d’attirer les acheteurs en quête d’un cadre de vie exceptionnel. Si vous envisagez d’investir dans l’immobilier à Aix-les-Bains, il est recommandé de vous adresser notre une agence immobilière locale Groupe RD IMMO pour bénéficier de conseils personnalisés et trouver le bien qui correspond à vos attentes et à votre budget.
Les modes de chauffage d’hier, d’aujourd’hui et ceux de demain
Le premier mode de chauffage a été mis au point il y a environ 1 million d’années. Bien avant le panneau solaire thermique ou la pompe à chaleur géothermique, il y avait… le feu de camp. Tout simplement. Trop simplement, peut-être : au fil des siècles, des millénaires, les scientifiques hominidés ont rivalisé d’ingéniosité pour profiter d’un confort thermique au sein de leur foyer, de manière plus sophistiquée et sécurisée.
Le mot foyer n’a rien d’anodin, d’ailleurs : il désigne, étymologiquement, l’endroit où se trouve le feu, l’âtre ; et donc l’âme d’une maison. Car oui, le système de chauffage tient une place essentielle dans une habitation. Non seulement il contribue au bien-être des occupants mais il reflète également, à un niveau sociologique, l’évolution des technologies, des pratiques sociales et des préoccupations environnementales à travers les âges.
Voici notre dossier complet sur la question, en commençant par une petite contextualisation.
Le mode de chauffage, cette balise temporelle
Le mode de chauffage apparaît comme une vraie boussole, douillette et emblématique, qui donne à observer les capacités adaptationnelles de l’humanité face à son environnement. Surtout face aux défis qui se présentent à lui. Mais nous ne sommes pas sur un blog d’histoire ; c’est donc en tant qu’agence immobilière que nous abordons ce sujet essentiel.
Certes, il aurait été passionnant de décrire le foyer ouvert (première vraie innovation après le feu de camp) ou la cheminée médiévale. Cela dit, on s’éloignerait un peu trop des préoccupations actuelles. Notre parcours va se focaliser sur les dispositifs de chauffage des XXe (à partir des années 1970) et XXIe siècle.
Comme dans bien d’autres domaines, on a pu assister à un essor important sur le plan technique. À une multiplication des possibilités. Petit à petit, les chercheurs sont parvenus à concilier efficacité, ergonomie… et écologie.
Ce progrès place les propriétaires français face à des problématiques d’envergure. Notamment celles liées à la rénovation énergétique.
Entre sanctions potentielles et aides financières, il faut trouver ses repères. Se demander ce qui pourrait freiner ou, au contraire, attirer des acquéreurs lors d’une vente. Sachant que dans le cas des passoires thermiques (les bâtiments qui consomment beaucoup trop d’énergies proportionnellement aux besoins réels), des difficultés se présentent aussi dans le domaine de la location.
Approfondissons cette thématique selon une approche méthodique et chronologique.
Le chauffage au charbon et au fioul : les deux vétérans du confort thermique moderne
Dans les années 1970, on considérait le chauffage au charbon comme le must du genre. Il ravissait par sa grande efficacité et sa belle accessibilité. Il permettait d’obtenir un confort thermique suffisant tout en ménageant son budget. On en profitait via les poêles individuels, combinés aux chaudières centrales ; ces dernières servant du fameux matériau noir comme combustible.
Seulement voilà : la combustion du charbon libère d’importantes quantités de polluants. Parmi eux, le dioxyde de soufre, certains oxydes d’azote et des particules fines. De quoi impacter la qualité de l’air et entraîne des problèmes de santé publique. Sans oublier la dimension écologique : pendant le processus, une quantité très importante de gaz à effet de serre se libère.
Au fil des décennies, cette solution de chauffage a fait l’objet de critiques multiples. Il semblait impossible d’en interdire l’utilisation du jour au lendemain ; toutefois l’idée de s’en distancer a commencé à germer. C’est le 1er juillet 2022 que la France a pris un véritable virage législatif : à partir de cette date-là, l’installation d’une chaudière au charbon est frappée d’interdiction. Bien qu’il existe des exceptions et des nuances, on assiste donc à « l’extinction » de ce système.
La chaudière au fioul connaît un sort similaire. Son combustible, le fioul donc, s’est révélé tout aussi polluant. De même, et à l’instar du charbon, il ne permet pas de répondre aux exigences du développement durable. Les deux ressources sont dites non-renouvelables ; leur extraction et leur emploi mènent à l’épuisement du grenier géologique naturel.
Renoncer au fioul et au charbon, c’est protéger la valeur de son bien immobilier
Se pencher sur l’histoire du chauffage, c’est observer une prise de conscience progressive. Ce qui semblait correspondre à une opportunité exceptionnelle… révèle peu à peu ses limites. Voire ses dangers.
De nos jours, une installation thermique (souvent utile à obtenir de l’eau chaude sanitaire par la même occasion) doit s’aligner avec les objectifs verts. Dans le cas contraire, la vente de son bien immobilier se heurtera à de nombreuses difficultés.
Nous n’approfondirons pas ce dossier, car il faudrait lui consacrer un billet entier. Toujours est-il qu’au vu des normes actuelles, le fioul et le charbon ne permettent pas d’atteindre la performance énergétique requise.
Chaudières à fioul et à charbon : ce qu’il faut retenir en un clin d’œil
La chaudière électrique : une solution de chauffage efficace, mais qui a ses limites
Fondamentalement, le chauffage électrique suppose moins de pollution que les systèmes de chauffage fonctionnant au fioul ou au charbon. C’est d’ailleurs devenu une alternative intéressante dans les années 1970 et 1980, quand les premiers signes de défiance envers les deux énergies fossiles se sont manifestés.
À la clé, une diffusion de la chaleur plus homogène, mais aussi une obtention plus rapide du précieux confort thermique désiré.
Toutefois, il ne s’agit pas de la solution idéale. D’abord parce qu’elle laisse redouter des factures d’électricité élevées. Ensuite car son impact écologique dépend étroitement de la manière dont l’énergie est produite en amont. On peut parler d’une petite évolution, d’un pas en avant, mais sans toujours atteindre un équilibre satisfaisant entre efficacité, propreté et coûts d’utilisation.
Au moment d’une transaction immobilière, la présence de ce mode de chauffage se révèle beaucoup moins problématique que dans le cas précédent. La différence va, en principe, se loger dans l’ancienneté de la chaudière électrique. Les modèles plus récents, par définition, répondent mieux aux enjeux environnementaux.
Dans un registre similaire (et souvent conjugué !), les radiateurs à baisse température ont davantage leur place dans le paysage technologique actuel que leurs équivalents classiques.
Profitons de cette remarque pour souligner un point intéressant. Si l’on excepte les chaudières à fioul et à charbon, condamnées à devenir des pièces de musée, les modes de chauffage peuvent être plus ou moins performant énergétiquement et abordables économiquement en fonction de leur sophistication et de leur ancienneté. Cela vous orientera, mécaniquement, sur la nécessité (ou non) de remplacer le mode de chauffage avant une vente, ou dans l’optique de rénover votre logement.
Chaudière électrique : ce qu’il faut retenir en un clin d’œil
La chaudière à gaz : un mode de chauffage entre deux feux
La chaudière à gaz compte parmi les systèmes de chauffage couramment utilisés et appréciés dans de nombreux foyers français. Bien que la répartition de la chaleur ne soit pas aussi uniforme qu’avec une itération électrique, on peut tout de même relever (avec quelques bémols, nous le verrons plus bas) une efficacité énergétique satisfaisante et une facilité d’utilisation au quotidien, nécessitant un moindre entretien.
Au moment de la combustion, le dégagement des gaz polluants se révèle beaucoup plus modeste que dans le cadre d’une chaudière fioul, par exemple.
Qui plus est, les chaudières à gaz modernes, plus précisément les modèles dits « à condensation » récupèrent la chaleur des gaz d’échappement (ceux qui sont évacués par les conduits, donc), ce qui mène à réduire la consommation de gaz et les émissions de dioxyde de carbone.
Sur le plan pécunier, les frais mensuels sont en principe plus abordables que dans le cadre d’une chaudière électrique. Prudence, toutefois, à ne pas tirer de conclusions hâtives. La guerre en Ukraine, pour ne citer qu’un exemple, a entraîné un mouvement de panique sur les marchés. Les sanctions imposées à la Russie ont bouleversé le jeu de l’offre et de la demande. Plusieurs entreprises et foyers ont vu le montant de leur facture grimper considérablement.
D’une certaine manière, on peut dire que la chaudière gaz est une solution médiane. Elle n’a pas les caractéristiques novatrices d’une pompe à chaleur, mais affiche tout de même des qualités intéressantes. Le fait qu’elle fonctionne grâce à des ressources non-renouvelable et qu’elle reste tout de même à l’origine d’une certaine pollution contribuent toutefois, et progressivement, au déclin de sa popularité.
Sur le marché de l’immobilier, elle n’est pas rédhibitoire, mais nous vous recommandons d’envisager un nouveau mode de chauffage si vous en avez les moyens ; il n’est pas exclu que celui-ci devienne désuet d’ici la fin de la décennie.
Chaudière gaz : ce qu’il faut retenir en un clin d’œil
La pompe à chaleur, ou la grande vedette de la décennie 2020
La pompe à chaleur faisait déjà parler d’elle au XXe siècle, mais c’est la transition énergétique qui l’a véritablement placée sur le devant de la scène.
Et pour cause : son fonctionnement combine des avantages multiples.
On ne saurait parler d’une installation « zéro émission » puisqu’elle a besoin d’électricité pour fonctionner ; à moins de la coupler à un panneau solaire photovoltaïque. Toutefois, la consommation énergétique reste bien inférieure à celle d’une chaudière électrique ou d’une chaudière gaz.
La pompe à chaleur : un (très) bon point pour la valeur d’un bien immobilier
Si la maison ou l’immeuble que vous souhaitez mettre en vente accueille déjà une PAC (et qu’elle est toujours fonctionnelle, évidemment), vous ajoutez une belle pièce à votre dossier.
En effet, la pompe à chaleur fait partie des gages d’écoresponsabilité. C’est pourquoi de nombreuses subventions et aides financières existent à son acquisition. Les gouvernements européens, chacun à leur manière, encouragent la mise en place de ces modes de chauffage nouvelle génération.
Pompe à chaleur : ce qu’il faut retenir en un coup d’œil
Le panneau solaire thermique : entre espoir et scepticisme
Le panneau solaire thermique fait l’objet de nombreux débats.
Certains voient en lui le mode de chauffage de demain… voire d’aujourd’hui. Ils saluent son autonomie, notamment : cet équipement permet de transformer les rayons du soleil en chaleur… sans connexion au réseau domestique.
D’autres considèrent cette solution comme trop élitiste. Il est vrai que malgré un gain d’accessibilité depuis quelques années, posséder un panneau solaire n’est pas à la portée de toutes les bourses. Au-delà, sans mauvais jeu de mot, le rayonnement de ces systèmes de chauffage reste limité par rapport à ses équivalents. Il est difficile de fournir toute une résidence sans un module complémentaire ; par exemple une PAC.
Puisque les recherches se poursuivent, on peut spéculer sur une amélioration exponentielle de cette technologie. Ainsi, dans quelques années, il deviendra de plus en plus intéressant d’appliquer une tuile solaire à la charpente du toit, par exemple.
Le panneau solaire thermique : un allié évident pour édifier certains logements intelligents
Une chose est certaine : le panneau solaire thermique a de grandes affinités avec les nouvelles approches « smart », privilégiant les maisons autonomes, propres et agréables à utiliser. Le tout avec cette idée d’automatisation et de connectivité. Votre smartphone peut permettre de tout moduler… depuis le monde entier !
Aussi, lorsqu’il forme un duo avec le panneau solaire photovoltaïque, il fait atteindre nouveaux sommets à la rationalisation énergétique. L’électricité et le chauffage s’obtiennent sans émissions de gaz à effets de serre, et sans recours au réseau courant.
Si vous choisissez de franchir ce seuil, vous ferez définitivement rimer modernisation et rénovation. Ne serait-ce que symboliquement, le panneau solaire thermique embrasse les idéaux écologiques ; et tous les objectifs qui l’accompagnent.
Panneau solaire thermique : ce qu’il faut retenir en un coup d’œil
Chauffages d’hier, d’aujourd’hui et de demain… à quand le prochain ?
Nous n’avons pas pu aborder toutes les alternatives – mentionnons rapidement la chaudière biomasse, qui présente à son tour plusieurs arguments. Elle consiste à employer des matières organiques en tant que combustibles.
Le poêle à bois, lui, se prête parfaitement à l’aménagement d’une résidence secondaire. Proche d’une cheminée dans son concept, il communique une réconfortante chaleur à celles/ceux qui se trouvent à proximité.
Si vous êtes propriétaire, au moment d’acheter, louer ou tout simplement de vivre sur place, tous les critères que nous venons de mettre en exergue doivent être considérés. Le prix d’acquisition, la performance énergétique, la surface à couvrir, le confort…
Gardez à l’esprit que les tendances sont amenées à évoluer rapidement. La chaudière fioul ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir. Et qui sait combien de temps la chaudière gaz restera une solution raisonnable ?
Vous avez des hésitations ? Des questions ? Nous nous tenons à votre disposition. Nos connaissances concernant les braises préhistoriques sont un peu plus limitées, mais l’époque contemporaine, ses challenges, ses lignes de force… c’est notre spécialité !
Et qui sait ? Peut-être que d’ici quelques années, nous aurons une nouvelle invention à vous présenter. L’être humain n’en aura sans doute jamais fini d’étendre ses possibilités.
Stopper une saisie immobilière avec le réméré
Lorsque vous vous trouvez dans l’incapacité de régler vos échéances de prêt, une procédure de saisie de votre bien immobilier peut être initiée. Cette démarche conduit souvent à une adjudication, soit une vente à la barre du tribunal, à moins que le juge de l’exécution ne donne son feu vert pour une transaction de gré à gré.
Heureusement, un éventail de solutions, comme la vente à réméré ou le portage immobilier, existe pour éviter une saisie immobilière, qu’il s’agisse d’une maison ou d’un appartement. Chaque année, cette situation affecte malheureusement plus de 15 000 ménages en France. Nous vous présentons ici les actions à mener pour contrecarrer cette épreuve ainsi que les phases clés caractérisant le processus de saisie immobilière.
Processus de saisie immobilière
Phase initiale : Commandement de paiement
Suite à une action judiciaire intentée par votre créancier, une décision judiciaire rendue par un tribunal vous oblige au remboursement de votre dette et des frais associés, cette décision ayant force exécutoire. Votre créancier mandatera par la suite un huissier de justice qui vous notifiera un commandement de payer qui équivaut à une saisie. Dès la réception de ce commandement, il vous sera interdit de procéder à la vente, à la donation ou à la perception des loyers de votre propriété, bien que vous puissiez continuer à y résider sauf en cas d’injonction d’expulsion. Si la dette n’est pas honorée, la propriété sera saisie. Ce commandement doit être enregistré à la conservation des hypothèques où se situe le bien immobilier, et ce, dans un intervalle de deux mois suivant sa signification.
Pendant ce laps de temps, l’huissier est autorisé à pénétrer chez vous pour dresser un état des lieux descriptif, et ce, même en cas de refus de votre part ou si vous n’êtes pas présent. Par ailleurs, votre banque vous enverra, via huissier, une convocation à une audience d’orientation devant le juge de l’exécution.
Audience d’orientation
Durant cette audience, le juge prendra en compte les arguments des deux parties et décidera de l’issue de la procédure. Il peut soit consentir à une vente à l’amiable du bien immobilier, soit ordonner la continuation de la saisie, soit suspendre ou interrompre la procédure. En cas de vente à l’amiable, qui se déroulera comme une vente traditionnelle, le juge délimitera un prix de vente minimal et vous accordera un délai maximal de quatre mois pour réaliser la transaction et ainsi régler la dette envers le créancier. Si un compromis de vente est conclu tardivement, le juge peut accorder un supplément de temps pour finaliser la vente à l’amiable. Faute de preuve de cette transaction imminente, le juge fixera la date de la vente aux enchères.
Vente forcée
Une fois la vente aux enchères programmée, le bien sera annoncé publiquement : une affiche sera apposée sur le lieu même, l’annonce sera publiée dans des journaux d’annonces légales, entre autres. Le créancier fixera le prix de départ des enchères. Des visites du bien pourront être organisées. Lors du jour J, le créancier peut confirmer la saisie. Si aucun créancier n’est présent, la procédure s’annule automatiquement. En cas de réalisation de la vente forcée, les recettes ne seront pas attribuées au débiteur mais serviront à rembourser les créanciers. Tout excédent sera ensuite remis au débiteur. En revanche, si le produit de la vente s’avère insuffisant, le débiteur restera redevable du solde dû. L’acquéreur du bien, l’adjudicataire, prendra en charge l’expulsion du débiteur de la propriété saisie.
Quelle solution pour stopper une saisie immobilière ?
Un dispositif peu connu du grand public peut servir d’issue pour interrompre une action de saisie immobilière : il s’agit de la vente en réméré.
Fondements de la vente en réméré
La spécificité de la vente en réméré repose sur la cession provisoire de sa propriété immobilière, tout en ayant la possibilité de l’habiter contre le versement d’un loyer, avec l’option de la racheter pour une période prédéfinie à un tarif préalablement établi. Par ailleurs, il vous est possible de la céder à nouveau pour profiter de l’éventuel excédent financier généré par la différence entre le montant de vente initial et le coût de rachat convenu.
Processus clé de la vente en réméré
Première étape : Cession provisoire de la propriété
La demeure est cédée de manière temporaire, sans nécessité de changement de domicile.
Deuxième étape : Liquidation des dettes
Le produit de la vente permet le règlement des créanciers, ce qui a pour effet d’arrêter la procédure de saisie du bien immobilier.
Troisième étape : Option de rachat ou de revente
Dans la suite logique, vous avez la liberté de récupérer la propriété ou de la transférer à un nouveau propriétaire.
Cette stratégie, encadrée par les articles 1659 à 1673 du Code civil, est conçue pour répondre aux problématiques des propriétaires confrontés au risque de saisie de leur bien immobilier. Elle écarte la menace des visites d’huissiers et l’éventualité d’une vente à la criée, permettant par la même occasion de demeurer dans son logement.
Les fonds issus de la transaction servent à apurer les emprunts et offrent l’opportunité de retrouver une stabilité financière, propice à la reprise de la propriété ou à une revente dans des conditions optimales.
La vente en réméré est envisageable à n’importe quel stade, avant ou durant la procédure de saisie. Il est cependant essentiel de disposer d’une marge temporelle adéquate assurant la clôture du dossier avant la date prévue pour la vente à l’enchère. Une fois cette échéance dépassée, il n’est plus possible de procéder à la vente en réméré.
Louer son logement à Aix-les-Bains : ce qu’il faut savoir
Aix-les-Bains est une commune de Savoie (73) réputée pour ses thermes, certes… mais il serait réducteur de la limiter à cet aspect ! Si votre logement (maison, appartement…) s’y trouve et que vous souhaitez le louer, il est important d’élargir votre spectre. De comprendre ce qui rend unique cette ville de la région Rhône-Alpes.
RD Immo, en tant qu’agence immobilière, étudie l’évolution des tendances tout au long de l’année. Cette minutie s’applique à chaque localité de son rayon d’action.
Voici ce que nous pouvons mettre en avant à propos d’Aix-les-Bains. Découvrez nos recommandations afin d’optimiser votre démarche, et d’envisager la location d’un bien foncier sans mauvaise surprise à la clé !
Location de son logement à Aix-les-Bains : les avantages d’un cadre à couper le souffle
Le lac du Bourget. Les thermes. Les fières Alpes en guise de couronne majestueuse. Une chose est certaine : Aix-les-Bains ne manque pas d’attraits. Comptant environ 30 000 habitants selon les estimations démographique les plus récentes, elle compte parmi les joyaux de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Au moment de préparer une annonce pour mettre son logement en location, les arguments flatteurs peuvent aussi bien concerner la qualité de vie que la qualité des infrastructures. Cette bourgade concilie fort bien son héritage naturel et le dynamisme de la modernité.
Des districts qui ne manquent jamais de charme
Tous les quartiers profitent, à leur manière, d’une atmosphère alpine. Le cœur historique est bordé de verdure, et offre un accès exceptionnel aux services alentours… dont la station thermale, justement.
Celles et ceux qui préfèrent occuper une maison ou un appartement plus à l’écart apprécieront le quartier du Corsuet, aux colorations rurales. Il existe aussi des compromis, tel que le quartier Chantemerle et sa proximité au centre ville.
Connaître la mosaïque nuancée d’Aix-les-Bains, entre ville et campagne, permet de valoriser un actif immobilier de manière fidèle.
Chez RD-Immo, nous avons parfaitement conscience des nombreuses possibilités offertes à ceux qui vivent sur place, que ce soit sur le moyen ou le long terme. Nous mettons en avant les charmes de chaque zone au moment de mettre un bien en location.
Quelle est la dynamique du marché immobilier à Aix-les-Bains ?
Les joliesses et les aubaines que nous venons d’évoquer ne suffisent pas à expliquer le manque d’offres locatives qui s’observe à Aix-les-Bains depuis quelques années. Comme on l’apprenait dans cet article de L’Essor Savoyard, la crise globale de l’immobilier a touché durablement cette ville haut-savoyarde. À tel point que dès le 1er janvier 2024, elle sera « considérée comme une zone tendue ».
Les propriétaires qui souhaitent faire occuper leur logement tiendront compte de cette nouvelle donne. En effet, plusieurs paramètres changent la donne. Un encadrement plus strict des loyers se profile. Dans un même temps, la décision prise pour l’horizon 2024 montre que louer son bien à Aix-les-Bains ne présente pas de difficulté conséquente, à condition de soigner la procédure.
En tant que spécialistes, nous sommes prêts à vous accompagner dès aujourd’hui dans votre parcours de mise en location. Nous ferons en sorte que vous tiriez parti de cet écart entre l’offre et la demande… sans léser les futurs locataires, évidemment.
Bon à savoir
Les fluctuations sont légion dans ce secteur. C’est pourquoi nos équipes ne relâchent jamais leur vigilance. Nous surveillons les annonces gouvernementales et les diverses publications officielles. En tant que conseillers, nous sommes parfaitement prêts à éclaircir vos doutes.
Attention : certaines sources malhonnêtes laissent miroiter des opportunités douteuses, profitant des turbulences conjoncturelles pour agencer leurs escroqueries. Il est important de s’adresser à des entreprises agrées telles que la nôtre.
Faire signer un contrat de bail à Aix-les-Bains : une démarche à anticiper
Une erreur courante revient à « bâcler » l’organisation de la location… justement parce que les potentiels résidents pourraient s’aligner devant la porte dès la première publication.
En effet, si vous ne procédez pas dans l’ordre, vous risquez d’amoindrir la rentabilité et la régularité du projet.
Afin de ne rien laisser au hasard, il faudrait toujours…
Ce n’est qu’un aperçu des éléments à prendre en compte.
Aussi, nous nous ferons un plaisir de prendre en charge tout ou partie de ces obligations. Nos dispositifs de gestion locative couvrent toute la constellation des services précieux au moment de louer son bien immobilier à Aix-les-Bains, ainsi que partout ailleurs où nous intervenons : Chambéry, Rumilly, Annecy… ainsi que Grenoble et Paris.
Location d’une maison ou d’un appartement à Aix-les-Bains : nous vous aidons à trouver la meilleure solution
Le contrat de bail doit être élaboré avec précaution. Nos agents immobiliers en ont l’habitude. Il suffit de nous téléphoner ou de nous envoyer un message afin d’entamer notre collaboration. Vous serez ainsi en mesure de louer votre maison ou votre appartement à Aix-les-Bains sans contraintes, et sans ralentissements inutiles.
Nous tenons à déployer des formules clé-en-main. C’est une large expérience et une connaissance pointue de cette belle ville thermale dont nous vous ferons profiter.
Vous désirez en savoir davantage sur nos services ? Notre site regorge d’articles et de rubriques spécialement conçus à cet égard. Nous les mettons régulièrement à jour. Alors nous vous souhaitons une pleine réussite, quel que soit votre projet immobilier. En espérant pouvoir y contribuer !
Les tendances du marché immobilier à Chambéry : Perspectives pour l’année 2024
Dans cet article, nous allons plonger en profondeur dans les tendances actuelles du marché immobilier à Chambéry et analyser ce que l’année 2024 à venir pourrait réserver aux acteurs du marché, qu’il s’agisse d’acheteurs, de vendeurs ou d’investisseurs immobiliers.
1. Évolution des prix de l’immobilier :
Au cours des dernières années, le marché immobilier à Chambéry a été le théâtre d’une évolution significative des prix. Dans l’ensemble, les prix des biens immobiliers ont connu une tendance à la hausse, reflétant la demande croissante dans la région. Cependant, cette augmentation des prix n’a pas été uniforme dans tous les quartiers et pour tous les types de biens. Certains quartiers ont connu une augmentation des prix plus marquée que d’autres, en raison de leur attractivité et de leur proximité avec les commodités telles que les écoles, les transports en commun et les commerces.
En prévision de l’année à venir, il est probable que cette tendance à la hausse des prix se poursuive, bien que peut-être à un rythme plus modéré. Les prix pourraient continuer d’augmenter dans les quartiers les plus prisés, où la demande est forte et l’offre limitée. Cependant, dans d’autres quartiers, les prix pourraient rester relativement stables, en fonction de divers facteurs tels que l’offre de logements disponibles, les taux d’intérêt hypothécaires et les conditions économiques générales.
2. Demande et offre sur le marché :
La demande pour les biens immobiliers à Chambéry reste forte, alimentée par plusieurs facteurs, notamment la croissance démographique, l’attractivité de la région en tant que lieu de vie et de travail. Cependant, l’offre de biens immobiliers disponibles à la vente n’a pas toujours suivi le rythme de la demande, ce qui a entraîné une concurrence accrue entre les acheteurs pour les biens disponibles.
Dans les mois à venir, il est possible que l’offre de biens immobiliers à Chambéry augmente légèrement, notamment en raison de nouveaux développements résidentiels et de la mise sur le marché de biens existants. Cependant, la demande devrait rester forte, en particulier pour les biens de qualité dans les quartiers recherchés, ce qui pourrait maintenir la pression sur les prix.
3. Impact des facteurs économiques et sociaux :
Les facteurs économiques et sociaux ont également un impact significatif sur le marché immobilier à Chambéry. Les taux d’intérêt, par exemple, influent sur la capacité des acheteurs à acquérir un bien immobilier, tandis que les conditions du marché du travail local peuvent affecter la demande de logements. De plus, les politiques gouvernementales liées au logement, telles que les incitations fiscales pour les acheteurs et les programmes de construction de logements abordables, peuvent également avoir un impact sur le marché immobilier de la région.
En outre, les tendances démographiques, telles que le vieillissement de la population et les changements dans les préférences des acheteurs, peuvent également façonner le marché immobilier à Chambéry dans les années à venir.
4. Prévisions pour l’année à venir :
En conclusion, il est probable que le marché immobilier à Chambéry reste dynamique dans les mois à venir, avec une demande continue pour les biens immobiliers dans la région. Les prix pourraient continuer d’augmenter, bien que peut-être à un rythme plus modéré, et la concurrence entre les acheteurs pour les biens disponibles pourrait rester forte.
Pour les acheteurs, vendeurs et investisseurs immobiliers, il est important de rester informé des tendances du marché et de travailler avec des professionnels de l’immobilier locaux qui connaissent bien le marché et peuvent fournir des conseils et des conseils personnalisés. Faites confiance à des spécialistes du secteur immobilier à Chambéry depuis de nombreuses années en contactant l’agence Groupe RD Immo Chambéry.
En fin de compte, l’année à venir promet d’être passionnante pour le marché immobilier à Chambéry, avec de nombreuses opportunités et défis à prévoir. En restant informé et en travaillant avec des experts de confiance, les acteurs du marché peuvent naviguer avec succès dans ce marché en évolution.
Propriétaire, locataire… qui paie les charges de copropriété ?
Si l’on s’en réfère au site officiel du service public français, en principe, ce sont les copropriétaires qui paient les charges de copropriété. Cette précision, « en principe », n’a rien d’anodin. Elle implique des exceptions. Des particularités. À travers cet article, RD Immo revient sur cette question essentielle.
Découvrez tout d’abord, en guise de rappel, une définition de ces apports mensuels. À quelles dépenses sont-ils destinés ? De quelle manière sont-ils définis ?
Nous en viendrons alors au cœur du sujet, en déterminant de quelle manière la répartition des charges de copropriétés peut varier.
Les charges de copropriété : une définition
Les charges de copropriété représentent toutes les dépenses nécessaires à la gestion et à l’entretien de l’immeuble concerné. Elles comprennent notamment les frais d’entretien des parties communes, les services collectifs (on pense notamment à l’ascenseur ou au chauffage collectif), les dépenses liées à la sécurité… en somme, tout ce qui permet aux résidents de partager l’édifice sereinement.
Au-delà de ces questions directement utilitaires et fonctionnelles, il faut mentionner les frais de gestion. Ces derniers couvrent notamment la rémunération du syndic de copropriété. Jouant un rôle-clé, y compris en tant que représentant juridique, cet acteur assure la gestion administrative, technique et financière de l’immeuble. Cela inclut, entre autres, la préparation des assemblées générales, la gestion des contrats d’entretien, et tout ce qui relève de la comptabilité.
Ce n’est pas tout : les frais de gestion s’étendent à quelques coûts administratifs, aux logiciels acquis pour faciliter la logistique internet, etc.
Ajoutons à tout cela les assurances, les charges venant financer les travaux de rénovation ou encore les taxes… et l’on mesure la grande importance d’une trésorerie opérationnelle !
Faut-il encore savoir qu’il l’alimente. Commençons par rappeler un principe simple.
Les copropriétaires sont les premiers concernés par les charges
Certaines lois résistent au bulldozer de la modernité ; celle du 10 juillet 1965 (n°65-557) appartient à cette catégorie. La portion qui nous intéresse particulièrement ici est l’article 10 :
« Les charges relatives à la conservation, à l’entretien et à l’administration des parties communes, les dépenses de travaux et de réparation (…) et, d’une manière générale, toutes les dépenses qui ne concernent pas des services collectifs ou des éléments d’équipement commun, sont réparties entre tous les copropriétaires, proportionnellement aux valeurs relatives des parts privatives comprises dans leurs lots »
La manière dont tout cela est formulé… peut prêter à confusion. Pour dissiper le brouillard, il faut distinguer deux catégories de charges :
Elles sont réparties entre tous les copropriétaires, en fonction de la valeur relative de chaque lot. Cela suppose un calcul pointu : chaque membre de la copropriété détient une quote-part, le plus souvent exprimée en tantièmes.
Parmi les facteurs pris en considération, mentionnons la surface du lot et sa destination (habitation, commerce, bureau, etc.). Attention : la valeur marchande du bien foncier ne fait pas partie de l’équation.
Sachant que la quote-part influence une autre variable essentielle : le poids du vote pendant l’Assemblée générale.
Dans tous les cas, c’est le règlement de copropriété qui sert de référentiel à la répartition des charges. Les spécificités propres à chaque résidence ne peuvent jamais entrer en contradiction avec le cadre législatif. Une dilution totalement disproportionnée des frais n’est pas envisageable.
Tout cela ne semble pas laisser beaucoup de place aux locataires. Néanmoins, il arrive que ces derniers apportent une contribution.
Dans quels cas les locataires paient-ils les frais de copropriété ?
Il va sans dire qu’aucune configuration où l’ensemble des dépenses serait imputée aux locataires n’est envisageable. On ne saurait décharger les copropriétaires de toute responsabilité.
En revanche, il existe des charges récupérables, également appelées charges locatives.
En voici quelques illustrations :
Contrairement aux charges régaliennes, ce n’est pas le règlement de copropriété qui définit la participation de chaque locataire. Les dispositions du bail de location font foi, elles-mêmes délimitées par certaines lois spécifiques. Et là encore, la surface du lot impacte le calcul. L’état des compteurs individuels entre également en ligne de compte, quand les circonstances le permettent.
À qui revient le paiement des charges de copropriété ? Ce qu’il faut retenir
C’est à au moment de l’Assemblée générale que tout commence. Sans contredire l’esprit et le texte des lois républicaines, cette réunion essentielle donne à déterminer la mécanique et la répartition des charges entre les copropriétaires.
Les locataires, quant à eux, participent via les charges récupérables ou charges locatives.
Il est important que toutes les dispositions soit connues et reconnues par les acteurs concernés. Le règlement de copropriété doit être accessible dans sa version la plus récente. Quant au contrat de bail, il sera porté à l’attention de chaque partie (et signé, évidemment) au moment voulu.
Bien que cela soit regrettable, il existe des situations où les délimitations actées en amont (distribution des charges, part de frais récupérables…) ne suffisent pas à apaiser les tensions. Dans ce cas, celle ou celui qui se sent lésé(e) peut faire recours auprès de la juridiction compétente.
Vous avez d’autres questions concernant la vie en copropriété, ou l’univers de l’immobilier ? N’hésitez pas à consulter le reste de notre site. Nous tenons à vous renseigner sur les aspects les plus variés. Ainsi, vous aborderez chaque nouvelle étape en toute tranquillité.
Louer son logement à Annecy : nos 5 conseils d’experts
Vous avez pour projet de louer votre logement à Annecy ? Qu’il s’agisse d’une maison ou d’un appartement, il est parfaitement possible de trouver un locataire. Dans ce domaine toutefois, comme dans bien d’autres, il existe un large éventail de nuances. Vous pourriez signer un contrat de location… sans qu’il ne s’agisse vraiment d’une « affaire », d’une « bonne opportunité ».
Notre agence immobilière connaît de nombreux moyens d’optimiser le processus. Plusieurs paramètres, une fois considérés, feront de vous un bailleur pleinement satisfait du contrat établi.
En prenant connaissance de nos cinq conseils pour louer son logement dans les meilleures conditions à Annecy délivrées dans ce guide, vous aurez un aperçu plus concret de sa dynamique locative. Sachant que nous sommes là pour vous aider dès que vous serez prêt(e) à franchir le pas !
1. Étudier le marché local : une initiative non-négligeable
Oui, la Venise des Alpes, comme on l’appelle parfois, se trouve en tension locative depuis de nombreuses années. L’offre se révèle inférieure à la demande, sur un plan global et malgré quelques fluctuations ponctuelles. La tendance ne semble pas prête de se résorber.
Cela ne signifie pas que les locataires se rueront sur la première annonce venue. Ne pas surveiller certains critères (particulièrement le prix…) pourrait rebuter les intéressés.
Tout comme au moment de vendre sa maison ou de vendre son appartement, il reste judicieux de s’interroger sur le marché de l’immobilier à l’échelle locale. Locale au sens très aigu du terme. En effet, la moyenne de la rente mensuelle est généralement calculée non pas par ville, et encore moins par département ou région, mais par quartier.
La section consacrée à L’immobilier du Figaro en ligne (voir ici) donne à constater des différences significatives entre la zone du Fier (19 €/m2 pour un appartement) et le quartier d’Albigny (21€/m2 pour un appartement). Plusieurs raisons expliquent cette disparité. Albigny, par exemple, bénéficie d’une charmante proximité avec le lac.
Vous n’êtes pas obligé(e) de vous lancer dans des recherches comparatives fastidieuses. Nos experts ont une perception complète des possibilités. Sentez-vous libre de nous joindre pour bénéficier de nos recommandations !
2. Soigner le processus de visite
Cette précaution vaut à Annecy comme à Chambéry, Aix-les-Bains ou Rumilly. Organisez soigneusement la fameuse session de visites. Dans la précipitation, vous pourriez envisager de remettre les clés à des locataires… peu fiables.
Privilégiez une communication constructive et un échange complet. Là aussi, nos agents immobiliers sont prêts à vous accompagner.
Attention : il vaut mieux ranger et nettoyer les lieux avant que les premiers curieux n’arrivent. Encore une fois, la tension immobilière ne résout pas tout.
3. Peaufiner l’annonce
Chez RD Immo, nous ne cesserons jamais de rappeler l’importance d’une annonce immobilière, quel que soit le projet.
Cette dernière offre, la plupart du temps, un tout premier aperçu de l’appartement, de la maison… et mérite donc toute votre attention. Nos agents immobiliers rivalisent d’ingéniosité afin d’optimiser l’efficacité de cette publication.
Afin de capter l’attention des locataires, elle devrait (notamment) répondre aux exigences suivantes :
Il y a d’autres moyens de marquer la différence. Le groupe RD Immo se fera une joie de les identifier, et de les spécifier pour mettre votre logement en location à Annecy, avec rigueur et un professionnalisme inconditionnel.
4. La communication : une pierre angulaire au moment de louer son logement à Annecy
En Haute-Savoie comme aux quatre coins de la France, il est bon d’exploiter plusieurs canaux de communications. De notre côté, nous vous offrons la possibilité d’intégrer une annonce sur le site de l’agence.
En complément, pourquoi ne pas faire savoir autour de vous, auprès de votre entourage, de vos collègues, que vous louez un appartement, un studio, une maison à Annecy ?
Mobiliser les réseaux sociaux permet également de multiplier les chances de succès. Car même si votre logement est le plus beau et le plus confortable des environs… il est difficile de le deviner, non ? ?.
5. Établir un contrat de bail imparable
Ce dernier conseil pour louer son logement à Annecy concerne surtout le bail en tant que tel. Plus ce dernier est précis, moins vous vous exposez à des difficultés lorsque l’occupation des lieux commence.
La gamme des (potentiels) litiges à anticiper est large. Sans même parler de conflits ou de conséquences fâcheuses, au demeurant, il en va tout simplement du confort de la sérénité des personnes concernées. La vôtre, et celle des locataires.
Par exemple, quelle est la destination du bien ? Autrement dit, à quoi va-t-il servir ? On ne met pas des locaux professionnels à disposition dans les mêmes conditions qu’une chambre étudiante.
Qu’en est-il de la sous-location : est-elle autorisée sous réserve de demande spécifique… ou interdite ? Dans un autre registre, quelle garantie est demandée au début du bail ?
Si toutes ces considérations vous découragent par avance, rassurez-vous : c’est notre métier. Nous pouvons donc prendre le relai. Nos solutions de gestion locative à Annecy vous soulageront de toute cette fourmilière administrative et légale. Nous sommes même habilités à choisir les locataires, à organiser le tour de la propriété… Un vrai gage de sérénité.
Louer son bien foncier à Annecy : c’est dès maintenant que vous pouvez commencer !
Un peu de patience et d’investissement, observés ou délégués, devraient suffire à mettre votre bien en location à Annecy. Beaucoup de personnes sont peut-être déjà en train de rêver à une maison ou à un appartement comme la/le vôtre.
Afin de vous concentrer sur vos tâches quotidiennes et de ne pas commettre d’impairs, pensez à contacter notre agence immobilière RD-Immo. Nous sommes au service de tous les propriétaires qui cherchent à conclure un contrat de bail porteur et sécurisé à Annecy, donc, mais également à Aix-les-Bains, Chambéry, Grenoble, Rumilly… et jusqu’à Paris !
Nous cultivons une connaissance pointue de chaque région composant notre rayon d’intervention. En quelques clics, en un appel, nous organiserons notre intervention avec vous. Alors à très vite !